Emmanuelle Gascoin, 21 ans, étudiante en géographie, Poitiers (86) Emmanuelle s’est découvert récemment une passion pour la généalogie. Au bout d’un an, son arbre compte déjà 700 personnes.L’été dernier, j’ai travaillé dans une mairie. J’étais chargée d’envoyer des copies d’actes à des généalogistes. Fouiller dans les vieux registres m’a donné envie de me lancer dans la généalogie. Mon arbre compte 700 personnes.
Pour l’instant, je ne recense que mes ancêtres et leurs frères et s?”urs, pas encore leurs descendants. Au cours de mes recherches sur le site Geneanet, j’ai pris contact avec une quinzaine de cousins. Nous échangeons des données soit en nous
envoyant nos fichiers au format Gedcom, soit en comparant nos arbres respectifs sur Geneanet. C’est ainsi que j’ai pu ajouter une cinquantaine de personnes à mon arbre en un week-end ! Pour l’enrichir, je consulte aussi ceux d’autres passionnés
en plus des sites d’associations généalogiques. Je profite également de l’entraide bénévole sur Francegenweb ou Entraide-genealogique. Je demande à d’autres internautes d’effectuer des recherches pour moi dans les archives de leur département et, à
mon tour, j’enquête pour eux sur Poitiers. C’est pratique : les archives départementales ne répondant pas aux demandes par courrier, cela m’évite les déplacements en Bretagne, en Normandie ou en Bourgogne, où habitaient certains de mes
ancêtres. Pour construire mon arbre, j’ai utilisé le logiciel Heredis 8 Pro. Simple à utiliser, il permet d’obtenir des statistiques et des fiches utiles sur le nombre de patronymes, de familles, la moyenne d’enfants par union… mais aussi de
créer et de publier un site personnel. C’est ce que je ferai, dès que j’en aurai le temps.
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