L’installation est simple. La seule difficulté est la saisie du long numéro de série du kit : avec les seules touches de la manette, sans clavier, c’est un calvaire ! Le plaisir est là, dès la première partie, une fois le casque-micro enfilé. J’ai chevauché une grosse cylindrée de Moto GP et affronté un Américain et un Québécois. Piloter avec le joystick est facile. Après deux victoires d’affilée, je nargue mes adversaires de vive voix, en utilisant la fonction de déformation vocale : ‘
Alors, encore dans les graviers ? Dur de respirer tout ce gaz. ‘ Un énervement canadien se fait sentir à l’annonce de ma première place. L’expérience est convaincante. Les victoires sont jouissives. Mes parties en réseau avec la Xbox ont été moins dévastatrices pour le moral qu’avec un PC ; j’ai rencontré plus de joueurs que je suis arrivée à battre, et moins de tricheurs. Dommage qu’il y ait peu d’Européens en ligne. A moins de se connecter à 5 h du matin, en même temps que les Américains, on trouve pour l’instant rarement plus de 50 partenaires potentiels.
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