De l’acquisition d’images Raw à la fabrication de pages web avec objets animés, en passant par la retouche complète des photos et la création graphique, PhotoImpact sait presque tout faire. En outre, il reconnaît trente-huit formats de fichiers différents. Hélas, cette richesse s’avère particulièrement difficile à maîtriser, tant l’interface est atypique et hétéroclite. Atypiques, les notions de sélection, d’objet, de masque et de couche, différentes de celles de tous les autres logiciels. Hétéroclites les menus, les boîtes de dialogue et les raccourcis clavier, dans leur présentation comme dans leur efficacité. Le dialogue de correction des yeux rouges, par exemple, est un résumé de tout ce qu’il ne faut pas faire, tant du point de vue de l’interface que de celui du résultat ! En toute objectivité, nous ne pouvons recommander PhotoImpact 10 qu’aux seuls utilisateurs des versions précédentes.
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