Pourtant prévu dès la construction de son appartement, le réseau domotique de Jean-Luc s’est révélé incompatible avec son chauffage et ses volets. Jean-Luc Strauss, 51 ans, directeur informatique, ParisDès la construction de notre appartement, nous avons choisi d’intégrer un système domotique. Un professionnel m’a conseillé la technologie des courants porteurs pour faire communiquer, via notre circuit électrique, tous les
appareils de notre système domotique. Je les pilote à l’aide de ma télécommande, une Philips Pronto. Cet appareil, qui ressemble à un ordinateur de poche, affiche sur son écran tout ce que je peux faire : fermer les volets, faire passer la
radio d’un haut-parleur à l’autre… Quand je choisis l’une de ces possibilités, la télécommande envoie le message, par infrarouge, à de petits convertisseurs branchés sur les prises de mes appareils électriques. Ce système de pilotage
centralisé repose sur un logiciel intégré dans la Pronto, logiciel que je ne peux hélas pas modifier, bien qu’étant informaticien ! Quand je sors de chez moi, j’appuie sur un bouton pour brancher l’alarme et fermer les volets… sauf cinq
qui ne peuvent être télécommandés, pas plus que notre chauffage. Mais nous ne regrettons rien, tant cette installation nous facilite la vie. Le tout, c’est de s’y habituer. En utilisant la télécommande pour faire suivre la radio des haut-parleurs du
salon à ceux de la salle de bains, par exemple !
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