La R340 se veut universelle, facile à utiliser, qualitative et économique. Pari tenu. Le moins que l’on puisse dire, c’est que la R340 rend la vie simple à son utilisateur, ce qui est loin d’être le cas de toutes les imprimantes… Bien qu’elle dispose d’un grand nombre de fonctions avancées fort appréciables, la simplicité de son interface rend son emploi très intuitif, aussi bien en mode autonome que pilotée par un ordinateur. Car ce périphérique ne l’est qu’à moitié : il peut en effet imprimer des photos depuis une clé USB ou une carte mémoire, grâce à un slot vraiment universel (pour une fois, le format xD n’a pas été oublié). L’écran de contrôle permet de régler finement les paramètres et options d’impression : index, tirage avec ou sans marge, optimisation de la netteté, de la luminosité, du contraste et de la saturation, entre autres. Un petit bémol tout de même : le port USB 1.1 situé en façade présente un débit limité qui ralentit considérablement la vitesse d’impression (jusqu’à trois fois) par rapport au mode connecté. Ceci est d’autant plus agaçant que la cadence d’impression par défaut est déjà assez lente (de 3 à 5 min pour un A4, 1 à 3 min pour un 10 x 15), tout comme le démarrage (40 s). C’est dommage car l’impression en nombre est sa spécialité.La R340 se rattrape en effet sur le terrain du coût à la page : ses six cartouches d’encres séparées assurent non seulement une qualité d’impression irréprochable, mais elles permettent aussi de limiter les dépenses avec un prix à l’unité de 10 euros et un taux de gaspillage réduit à zéro. Une très bonne affaire, qui conviendra aussi bien aux novices qu’aux photographes tatillons, mais patients.
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