Commercialisée à la fin du mois de septembre, l’Eee Box est au PC de bureau ce que l’Eee PC est à l’ordinateur portable : une machine à prix cassé mais ultracommunicante et discrète.
Après les miniportables low cost, Asus s’attaque aux mini-PC de bureau. Le fabricant taïwanais a encore frappé fort : pour moins de 230 euros sans écran (ni clavier ni souris), voici un PC hors du commun. Pas une affreuse tour grise, mais une Eee Box qui repose en équilibre sur son pied métallique, façon sculpture moderne. Si ce n’était son prix canon, on pourrait la croire dessinée par Apple… L’Eee Box, c’est donc un petit boîtier noir ou blanc avec des motifs sérigraphiés, un peu plus grand qu’une demi-feuille A4 et épais de 16 mm. Un encombrement bien moindre que les modèles de HP, Acer, Apple ou Dell, vendus au moins deux fois plus chers.Si l’Eee Box est peu puissante (voir nos tests), elle l’est suffisamment pour assurer toutes les fonctions de base d’un PC de bureau.
Un ordi vraiment silencieux Son processeur, un Intel Atom, est identique à celui qui équipe certaines versions du miniportable Asus Eee PC (voir page 10) . S’il n’est pas multic?”ur (du moins pas encore, il faudra attendre la sortie du N330, un double c?”ur à 1,6 GHz), l’Atom a l’énorme avantage de consommer peu d’énergie et de ne pas chauffer outre mesure. Résultat : ce micro est vraiment silencieux (26,8 dB, selon nos tests), même lorsqu’il est sollicité au maximum ! N’espérez pas passer des heures devant des jeux 3D récents, le circuit graphique intégré ne s’y prête pas. Mais pour s’amuser en ligne de temps en temps ou jouer à des titres anciens, l’Eee Box suffit. L’absence de graveur intégré n’est pas non plus dramatique puisque tous les programmes s’achètent et se téléchargent aujourd’hui depuis Internet.En revanche, ce PC est ultracommunicant : port réseau Gigabit Ethernet, Bluetooth et Wi-Fi n, une machine exceptionnelle à ce prix-là ! Voilà de quoi avoir à la maison un serveur de téléchargement de fichiers, branché en permanence à Internet. Seule la taille de son disque dur est trop faible pour en faire un serveur de fichiers. Il est également possible de transformer l’Eee Box en jukebox vidéo. Il suffit de placer le PC dans une chambre ou un salon et de le relier à un écran LCD via un adaptateur DVI-HDMI (non fourni) pour regarder ses DivX. Côté évolutivité, on peut augmenter la taille de stockage (au moins jusqu’à 320 Go en remplaçant le disque dur), la quantité de mémoire vive (jusqu’à 4 Go) et la portée de l’antenne Wi-Fi en la remplaçant par une antenne plus puissante (prise au standard SMA).Encore une fois, Asus est un précurseur. Pas besoin d’être devin pour imaginer une vague de mini-PC low cost déferlant pendant les fêtes de fin d’année et le début de l’année 2009. De quoi relancer l’intérêt du consommateur pour les ordinateurs de bureau, un segment qui ne représente plus que 35 % des ventes de PC domestiques.
À savoir Comme sur certains ordinateurs portables, A sus a intégré un système d’exploitation Linux qui démarre en sept secondes et évite de lancer Windows. Différentes applications sont disponibles dans l’Express Gate : regarder un film, écouter de la musique, sur fer sur Internet ou utiliser Skype.
Les concurrents : Dell Hybrid et Mac mini Dell a lancé son mini-PC de bureau avant Asus.Même concept : un encombrement réduit, différents coloris disponibles, le silence de fonctionnement, le Wi-Fi n et de nombreux connecteurs.
Les différences avec l’Eee Box : il comporte un graveur de DVD, son processeur double c?”ur est plus puissant (Core 2 Duo T5750 à 2 GHz). Mais il est aussi peu à son avantage dans les jeux 3D que l’Eee Box, et surtout, il est vendu environ trois fois plus cher (630 env., frais de port inclus) !
Autre sérieux concurrent, le Mac mini d’Apple : un superbe design, 16,5 cm de côté pour 5 cm de hauteur seulement, un graveur et un processeur beaucoup plus puissant (Core 2 Duo à 1,83 ou 2 GHz). Mise de départ : 500 euros.
À notre avis Nouveau coup de maître d’Asus ! Cette Eee Box est un mini-PC de toute beauté, peu encombrant et deux fois moins cher que la concurrence. L’ordinateur familial rêvé pour ceux qui souhaitent surfer sur Internet, faire de la bureautique, télécharger ou regarder des films. Même les fondus de micro tomberont sous le charme !
Processeur : Intel Atom N270 à 1,6 GHz (1 c?”ur)Mémoire vive : 1 Go de DDR2 (2 x 512 Mo So-Dimm)Disque dur : 80 Go, Sata, 2,5 pouces, 5 400 tr/min (Seagate)Circuit graphique : intégré, Intel GMA 950Circuit audio : intégré, Realtek HD audioGraveur : aucunAutres équipements : antivol Kensington, socle, monture Vesa (pour écrans)Communications : Wi-Fi 802.11 b/g/n, Bluetooth 2.0, Ethernet 10/100/1000Connecteurs : 4 USB, 1 sortie DVI, 1 S/PDif, prises casque et microphonePrincipaux logiciels : Windows XP Édition Familiale (ULCPC)Dimensions / Poids : 22,3 x 17,8 x 1,6 cm / 1,3 kgGarantie : 1 an
Cartes graphiques – ATI – Radeon HD 4850, HD 4870 et HD 4870X2 : La revanche d’ATI Avec ses nouvelles puces graphiques, ATI redore son blason et dame même le pion à Nvidia avec des cartes au rapport performances-prix imbattable.
Nous avons récemment testé la carte graphique la plus puissante du moment, une Nvidia GeForce GTX 280 (voir l’Oi n?’ 207 p. 92) . À peine sortie, la voilà déjà dépassée ! Comble de malheur pour Nvidia, c’est ATI, l’éternel rival, qui réalise cet exploit avec, pour enfoncer le clou, une solution moins chère. Pourtant, le processeur graphique (GPU) du GTX 280 possède des caractéristiques toujours inégalées : 240 c?”urs fonctionnant en parallèle et 1,4 milliard de transistors !
Mais, plutôt que de surenchérir sur ces chiffres, ATI, rachetée il y a peu par AMD, a choisi de se concentrer sur l’efficacité de l’architecture et la performance par mm2 . Le pari est réussi : nos tests montrent que ces nouvelles car tes ATI offrent le meilleur rapport performances-prix du marché. En effet, la Radeon HD 4850 surpasse la GeForce 9800 GTX, tandis que la HD 4870 atteint le niveau d’une GeForce GTX 260. À ces excellentes performances s’ajoute un prix défiant toute concurrence. Proposée au tarif symbolique de 150 euros, la HD 4850 se positionne à un niveau de prix auquel les joueurs n’avaient pas eu accès depuis longtemps. Avant cette série de Radeon, une bonne carte se monnayait à environ 200-250 euros.
Alors que les HD 4850 et 4870 fonctionnent avec un seul processeur graphique, le fleuron de la gamme, la HD 4870 X2, en combine deux (des HD 4870), associés à 1 Go de mémoire DDR5 chacun. Côté connecteurs, toutes les cartes de la série fonctionnent sur un port PCI Express 2.0, et sont rétrocompatibles avec les PCI-Express 1.0.
80?’C au repos
C’est la HD 4850 la plus facile à installer car elle n’occupe qu’un seul emplacement PCI ?” les autres en prennent deux. Gare aux petits boîtiers ! Sans surprise, c’est encore cette carte la moins gourmande en électricité et la moins bruyante (on l’entend à peine, même à pleine charge lorsqu’on joue en 3D). Pourtant, comme ses deux acolytes, elle chauffe énormément… Le GPU affiche en effet une température intentionnellement élevée de 80?’C au repos et un peu plus en pleine charge. L’objectif du fondeur : diminuer les fortes amplitudes de températures qui nuisent à la longévité des transistors et autres composants de la puce. Pour parachever nos tests, nous avons associé deux cartes HD 4850 en CrossFire (sur une carte mère compatible). Le résultat est impressionnant. Dans 3DMark Vantage (un benchmark 3D), elles affichent un joli score de 5 200 points, ce qui correspond presque aux performances d’une GeForce GTX 280 pour 100 euros de moins ! En attendant la prochaine réponse de Nvidia, ATI mène la danse.
À savoir
À notre avis
Téléphone – Samsung – Player style F480 : Un écran tactile très original Ce téléphone multimédia compact propose une interface tactile avec des widgets, un capteur 5 Mpix et une radio FM.
Avec sa silhouette de carte de crédit, sa surface tactile, ses finitions métalliques et son étui en cuir, ce Player Style est diablement séduisant. Son look rappelle le Samsung Armani ou le LG Viewty. Son écran n’est pas très grand (2,8 pouces contre 3 pouces pour le Viewty et 3,5 pouces pour l’iPhone), mais il est plutôt réactif et lumineux. La surprise vient de l’interface graphique qui s’inspire du volet de ‘ gadgets ‘ de Windows Vista : vous pouvez ainsi personnaliser l’écran d’accueil avec des icônes représentant des raccourcis d’applications (horloge, radio, lecteur audio, jeux, agenda, etc.). C’est très ludique : un glisser-déposer du bout du doigt suffit. De même, pour fermer une application, vous renvoyez son icône d’une pichenette vers la barre d’où elle est issue. Côté multimédia, le capteur de 5 mégapixels garantit de bonnes photos, peu bruitées, et des vidéos en 320 x 240 points, elles aussi de bonne qualité. Le tuner FM propose un affichage RDS, ce qui est assez rare pour être signalé. La qualité audio est excellente mais une prise casque jack standard, comme sur le F490, aurait été préférable à la prise Samsung.
Le Wi-Fi manque lui aussi à l’appel car, même si ce mobile est 3G+, tout le monde n’a pas envie de souscrire un abonnement Data illimité. Il ne faut pas avoir trop de regrets, car l’écran est trop petit pour surfer convenablement sur le Web. Du côté de l’autonomie, il a tout pour plaire : il a fonctionné plus de trois jours avant d’être rechargé.
Note
16/20
Prix
550 euros env. sans abo.
Points forts
Design – écran tactile Fonctions multimédias Compatibilité 3G+
Points faibles
Prix hors pack élevé Pas de wi-fi Pas de prise casque standard
Caractéristiques
À notre avis
PC portable – Dell studio 15 : Le plein d’options Un portable séduisant et très bien équipé, d’où son prix un peu élevé.
La nouvelle gamme de Dell joue la carte du portable personnalisé. Après avoir choisi son habit parmi quatre couleurs et quatre motifs, chacun peut le configurer à sa guise. Celui que nous avons testé comporte un écran avec éclairage par LED offrant des couleurs contrastées, une carte Wi-Fi n, un lecteur d’empreintes digitales et un clavier rétroéclairé au-dessus duquel les touches multimédias s’allument quand on les effleure. Autres bonnes astuces : la petite télécommande pour le Media Center qui se loge dans le port ExpressCard et un bouton de recherche automatique des réseaux Wi-Fi. Les performances sont très correctes pour la majorité des logiciels, à l’exception des jeux 3D trop gourmands en ressources. Le disque 160 Go à 7 200 tr/min n’apportant pas un gain sensible en rapidité, préférez-lui le modèle à 5 400 tr/min, au même prix mais avec 320 Go ! Au chapitre des déceptions, la qualité des enceintes (le son étant pourtant annoncé ‘ comme au cinéma ‘ ) et le port eSata, présent mais non actif. Côté prix, essayez en priorité l’offre promotionnelle que Dell propose sous le code DMFR5-NR53501 à 840 euros. Dans ce cas, ce portable devient une excellente affaire !
À notre avis
Points forts
Look attractif Nombreuses options
Points faibles
Performances en jeux 3D Qualité sonore
Note
15/20
Prix
1 050 euros env. (version 320 Go)
Caractéristiques
Reflex – Canon – EOS 1000D : Un reflex pour débuter Ce reflex d’entree de gamme offre des fonctions dignes d’un grand tout en conservant une grande simplicité d’utilisation.
Avec le 1000D, Canon propose un reflex particulièrement adapté aux néophytes. Très compact, il tient bien dans la main. En revanche, si la finition est sans défaut, les matériaux utilisés en font un boîtier bas de gamme, si on le compare aux reflex concurrents de prix équivalent, tel le Nikon D60. Néanmoins, l’ergonomie est bonne, les principales fonctions disposant d’un bouton dédié. Par contre, entrée de gamme oblige, le viseur du 1000D pèche par son étroitesse et sa faible luminosité. Canon a redessiné les menus de l’écran LCD de 6,35 cm. Plus colorés, ils sont aussi plus clairs, les fonctions basiques étant mises en avant. Testé avec l’objectif 18-55 mm stabilisé proposé en kit, le 1000D produit des images de qualité douteuse. Le vignettage, notamment, est beaucoup trop important et le centre de l’image manque de netteté. Cet objectif est certes à prix cassé, mais il n’est pas du tout taillé pour exploiter les possibilités du 1000D. Pour une meilleure qualité d’image, remplacez-le au plus vite ! Épaulé par le fameux processeur Digic III qui équipe les reflex haut de gamme de la marque, le 1000D gère bien le bruit numérique. Très limité à 800 ISO, il reste discret à 1 600 ISO. L’autofocus est très réactif, avec une latence à la mise au point inférieure à 0,3 seconde. En mode de visée par écran LCD (Liveview), la mise au point est moins rapide. Mieux vaut réserver ce mode pour la photo posée. Enfin, le 1000D intègre un système antipoussière très efficace pour ceux qui changent régulièrement d’objectifs.
Caractéristiques
À notre avis
Points forts
Excellente réactivité Stabilisation de l’optique efficace Bonne gestion du bruit
Points faibles
Viseur optique Étroit et peu lumineux Lenteur de l’autofocus en visée sur écran Finition correcte, mais bas de gamme
Note
14/20
Prix
530 euros env. (boÎtier nu)
Prix
630 euros env. avec objectif 18-55 mm
Bridge – Panasonic – DMC-FZ28 : Des photos toujours nettes Avec le DMC-FZ28, Panasonic frappe très fort. Ce bridge intègre un zoom optique 18x doté d’une focale grand-angle de 27 mm. Très à l’aise pour la photo en intérieur et pour les paysages, le FZ28 convient également pour la photo d’action, ou animalière. À condition de désactiver l’autofocus. En effet, la latence à la mise au point frise la demi-seconde. L’autre bonne surprise concerne le bruit numérique, correctement géré, y compris à 800 ISO en basse lumière. Un exploit, compte tenu de la taille du capteur, même s’il reste encore du chemin pour égaler les reflex sur ce point. Très polyvalent, bourré de fonctions avancées, le FZ28 demeure très simple à utiliser, grâce notamment à son mode ‘ Auto Intelligent ‘ qui détermine tous les paramètres de prises de vue en fonction de la situation : activation du stabilisateur optique (très efficace), réglage de l’ISO, détection des visages et même sélection du mode scène. Autant de paramètres qui, comme nous l’avons constaté lors de la prise en main, permettent d’obtenir presque toujours une photo nette et bien exposée.
Caractéristiques
À notre avis
Points forts
Très polyvalent Gestion du bruit numérique Mode auto intelligent Zoom 18X à focale grand-angle
Point faible
Autofocus un peu lent
Multifonction – Lexmark X4650 : Des cartouches de grande capacité Facile à installer en USB ou en wi-fi, cette trois-en-un offre une qualité d’impression moyenne.
Pionnier des imprimantes Wi-Fi, Lexmark essaie de démocratiser au maximum l’impression sans fil. Pari tenu : cette multifonction est un modèle de simplicité en grande partie grâce à son excellent assistant de configuration. Installer une imprimante en Wi-Fi (avec sécurisation WEP, WPA ou WPA2) devient un jeu d’enfant ! En se connectant sur une box ADSL, la X4650 imprime en Wi-Fi depuis n’importe quel ordinateur de la maison. Mais quelques points noirs viennent néanmoins ternir le tableau. Tout d’abord, elle ne possède pas d’écran pour prévisualiser les photos mais un simple afficheur. Plus grave, si la vitesse d’impression est dans la moyenne pour le texte et les photos A4, elle devient curieusement catastrophique pour les photos 10 x 15 : plus de deux minutes par tirage, c’est deux fois plus de temps que les modèles concurrents ! Quant au rendu, il est assez moyen, tant pour le texte (en qualité normale) avec des à-plats peu homogènes car parcourus de stries blanches, que pour les photos qui manquent de luminosité et de respect des couleurs. C’est acceptable pour l’impression de pages Web ou de courrier, mais dites adieu aux présentations soignées. Lexmark a cependant eu la bonne idée de proposer ?” en option ?” des cartouches noires ou couleurs à double capacité, à peine plus chères que les cartouches standards. De plus, si vous renvoyez les cartouches au fabricant, vous aurez le droit à une réduction sur votre prochain jeu de cartouches. Autres bonnes idées : le câble USB est fourni pour relier l’imprimante au PC (extrêmement rare pour une imprimante) et la garantie est de 3 ans.
Caractéristiques
À notre avis
Points forts
Connectivité wi-fi Facilité d’installation Port USB pour imprimer via une clé ou un disque dur
Points faibles
Lenteur de l’impression photo 10 x 15 Qualité de l’impression noir et blanc
Note
12/20
Prix
100 euros env.
Baladeur audio – Samsung YP-S2 : Un beau pendentif Concurrent de l’iPod Shuffle d’Apple, le baladeur YP-S2 se présente sous la forme d’un élégant galet de 4 cm de diamètre (5 couleurs) et d’un casque ‘ tour de cou ‘ . Pas d’écran mais cinq boutons principaux et une diode.
Cette dernière change de couleur selon le mode de lecture et l’état de la batterie. Dommage qu’elle soit peu visible, au dos du boîtier. Samsung livre le logiciel Media Studio pour organiser ses fichiers multimédias mais le baladeur peut s’en passer, car il est reconnu par Windows comme une clé USB. Les transferts de fichiers sont plutôt lents (environ 1 min 36 pour 64 Mo) et nécessitent un adaptateur USB propriétaire. Le son est correct, avec de bonnes basses, mais semble parfois sourd. Vous avez le choix entre deux ambiances sonores (studio et salle de concert). Enfin, l’autonomie mesurée est confortable (env. 10 h).
Points forts
Simple d’emploi Son correct
Points faibles
Lenteur du transfert de fichiers Adaptateur USB propriétaire
Note
14/20
Prix
50 euros env. (2 Go)
Routeur – Netgear Rangemax WNR3500 : Plombé par son logiciel Côté matériel, ce routeur Wi-Fi 802.11n est presque parfait : son boîtier compact prend peu de place sur un bureau ou une étagère. Ses huit antennes sont internes, donc invisibles, et leur fonctionnement est signalé par huit diodes bleues clignotantes (une option que vous pouvez désactiver par un bouton). Si quatre ports réseau Gigabit Ethernet sont présents, on regrette l’absence d’un bouton marche/arrêt pour éteindre le routeur quand on part en vacances ou lorsqu’il plante. Côté logiciel, les défauts se multiplient : l’assistant d’installation sur CD a planté au beau milieu de la procédure. Nous sommes alors passés manuellement sur linterface Web de configuration du routeur, entièrement en anglais. Plus gênant, le débit maximal du 802.11n est, par défaut, calé sur 145 Mbit/s. Il faut, également en manuel, le régler sur 300 Mbit/s. Après avoir été contacté, Netgear promet que tout sera corrigé en octobre pour une mise à jour. Les débits sont environ quatre fois supérieurs au 802.11g. Enfin, le routeur est aussi vendu avec une clé USB 802.11n pour seulement 10 euros de plus. À ce prix, cela devient une bonne affaire.
Points forts
Boîtier compact Antennes internes
Points faibles
Interface en anglais Problèmes logiciels Pas de bouton marche/arrêt
Note
9/20
Prix
120 euros env.
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