Volent-ils, sautent-ils, tombent-ils ? On les dirait manipulés par des doigts invisibles, les personnages du photographe Denis Darzacq. Suspendus dans les airs au rayon produits d’une grande surface, ou lévitant devant des articles de bricolage. La série, intitulée Hyper, intrigue, fait sourire. Un autre portfolio, plus inquiétant, appelé ‘ La chute ‘ montre des gens catapultés dans les rues, prêts à s’écraser sur le bitume. Là plus de doute, ils tombent. Les modèles, des danseurs de hip hop, de danse contemporaine ou de capoeira, sont représentés dans des univers urbains hostiles et déshumanisés, et l’on imagine leur chute plutôt dure. Une métaphore efficacehttp://denis.darzacq.revue.com
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