La nouvelle mouture de la barre d’outils de Google n’en est qu’à sa version bêta, mais elle fait déjà des remous. Au centre des débats : la fonction Autolink, fort ressemblante aux ‘ smarts tags ‘ expérimentés en 2001 par Microsoft dans Internet Explorer, et vite supprimés.Autolink permet d’ajouter automatiquement des liens sur certaines des pages Web visitées. S’il s’agit, par exemple, d’une adresse postale, l’internaute sera invité à se rendre sur le site Google Maps ; si le nom d’un livre apparaît, il sera alors dirigé vers le site d’Amazon. Une invitation qui n’est pas du goût de tous, même si cette fonction Autolink n’a pas été proposée pour linstant aux annonceurs qui pourraient alors inclure des liens publicitaires directement dans les textes. Le vent de protestation est tel que Google pourrait rebrousser chemin
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