Si l’image, le son et la vidéo envahissent nos écrans informatiques, l’écriture transmet nos idées, nos réflexions, nos pensées… et encore une bonne part d’informations. Elle y est normalisée au moyen de jeux de caractères que l’on nomme communément ‘ polices ‘. Une appellation qui manque singulièrement de poésie ! Avouez que les anciennes dénominations avaient plus d’allure : écritures cunéiformes, hiéroglyphes, calligraphies arabes ou chinoises, typographies. C’est avec bonheur que je les ai retrouvées, décrites avec talent sur le site Typographie et Civilisation, qui aborde également des écritures moins connues, comme l’euskara basque, ou plus virtuelles, comme le tengwar et le certhar du Seigneur des anneaux de Tolkien. Et bien d’autres encore. Une mine pour les esthètes de l’art graphique. En prime, de multiples liens (parfois morts, hélas) renvoient vers des sites spécialisés, mais aussi vers des polices à télécharger. L’écriture, décidément, néchappera pas à son destin numériquewww.typographie.org
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