- Téléphones multifonctions
- Cap sur le GPS
- Tout pour gérer ses mails et son agenda
- Excellents en audio, trop limités en vidéo
- Avantage au coulissant
- De vrais modèles Azerty
- La course aux mégapixels
- Plus de 10 heures sans recharger
- Grosses icônes et 3D
- Le Wi-Fi en standard
- Génération tactile
- Le culte de la minceur
- Des capacités en hausse sensible
- Pour piloter les périphériques
- Un téléviseur dans la poche
- Presque aussi bien que l’ADSL
Les smartphones cumulent de plus en plus de fonctions multimédias (appareil photo, caméscope, baladeur MP3), ce qui accroît de façon significative les besoins en stockage. Pour les pallier, les constructeurs ont deux possibilités : doter l’appareil d’une mémoire interne suffisante, ou opter pour un lecteur de carte mémoire. Le stockage interne est assuré soit par de la mémoire flash, soit, plus rarement, par un micro-disque dur. La flash est une mémoire qui offre des temps d’accès courts, qui consomme peu et s’avère relativement peu fragile aux chocs en raison de l’absence de composants mécaniques. Les micro-disques durs, plus fragiles, plus consommateurs et plus lourds, offrent des capacités plus importantes (8 Go sur certains modèles). Pour les lecteurs de carte mémoire, différents formats s’opposent, car ils sont incompatibles entre eux. Le micro-SD est le plus courant (jusqu’à 8 Go), le mini-SD se rencontre plus souvent sur les PDA et les smartphones de grande dimension (sa capacité va jusqu’à 2 Go). Enfin, les portables Sony-Ericsson se cantonnent au format de Sony, les Memory Stick micro ou M2.
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