Scrapland (le pays poubelle) est un astéroïde peuplé uniquement de robots. On y trouve des policiers (corrompus), des fonctionnaires (zélés) ou encore des prêtres (cupides). Cet univers décalé, où l’humour occupe
une large place, s’articule autour de la Grande Base de données, une entité qui stocke la mémoire de chaque robot, permettant sa résurrection en cas de destruction. Dans ce jeu d’action en vue à la troisième personne, on incarne D-Tritus, un robot
journaliste qui enquête sur le meurtre de l’Archevêque, gardien de la GBD. D-Tritus peut emprunter l’identité de n’importe quel robot : prendre celle d’un policier lui permettra d’entrer dans une zone interdite au public, celle d’un banquier
d’extorquer de l’argent aux autres robots, etc. Une grande partie de l’aventure se déroule à bord de voitures volantes armées. D-Tritus parcourt la cité à la recherche d’indices ou pour combattre ceux qui veulent l’éliminer. Les décors, grandioses,
baignent dans une lumière artificielle quasi psychédélique. Si Scrapland revendique une liberté d’action totale, dans la lignée de GTA Vice City, les challenges annexes (courses de voitures, destruction de
robots…) manquent ici d’intérêt et on a tôt fait de se consacrer uniquement à la quête principale.
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