Directeur de l’une des 60 équipes disponibles certaines réelles, la plupart fictives le joueur doit s’occuper de sa gestion financière et sportive. Une tâche complexe, dont on pourra déléguer certains aspects à des
sous-fifres virtuels. Les courses elles-mêmes, visibles en 3D, restent la partie la plus motivante du jeu, malgré des entorses à la réalité sportive et un graphisme qui pourrait être amélioré.On aurait surtout apprécié que les concepteurs prennent le temps de terminer un logiciel dont les plantages épisodiques gâchent le plaisir de jouer. Et si des correctifs sont disponibles sur le site Internet de l’éditeur, il
sera peut-être plus judicieux d’attendre la sortie de la troisième version, prévue pour le mois de juin.
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