J’ai toujours été attiré par la musique, bien que n’ayant jamais fait de solfège. L’un de mes amis faisait partie d’un groupe de rap amateur. Pour entrer dans cette formation, je me suis proposé d’en devenir le compositeur. Comme je n’avais pas les moyens d’acquérir du matériel professionnel, j’ai investi quelques dizaines d’euros dans les logiciels Hip Hop eJay et House eJay de Voyetra Turtle Beach. Ces deux programmes sont simples d’emploi : pour créer une composition, il suffit de choisir des enregistrements prêts à l’emploi (boucles rythmiques, accords, etc.), puis de les combiner sur une ‘ table chronologique ‘. Je suis passé ensuite à la vitesse supérieure avec Magix Music Maker 2. Malgré son petit prix (40 euros ), il offre beaucoup d’enregistrements (3 000 échantillons). Lorsque je compose, je travaille sur une piste à la fois, instrument par instrument. Le résultat final est obtenu en mixant toutes les pistes. Magix Music Maker propose également onze instruments virtuels, mais je ne les utilise pas car je ne les maîtrise pas. J’ai toujours rêvé de jouer du piano. Avec Magix Music Maker, j’y parviens virtuellement : je reprends les gammes proposées par le logiciel et je les modifie pour les intégrer à mon morceau. Pour davantage de confort, je prévois d’acheter une nouvelle carte graphique et un second moniteur ; je pourrai ainsi travailler en double écran avec, à gauche, les pistes du montage, et, à droite, la console de mixage avec l’égaliseur et tous les réglages des effets (compresseur dynamique, réverbération, écho…).
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