- Silence, on tourne !
- Comment nous les avons testés
- Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…
- Les autres modèles : on aime, on n’aime pas…
Aptitude à filmer en basse lumière
Lorsqu’on filme en basse lumière, des couleurs et des formes parasites (le bruit) viennent s’ajouter à l’image. On a filmé une mire dans une pièce noire avec un très faible éclairage contrôlé : les images de la séquence obtenue ont été examinées pour détecter le bruit qui apparaît, par exemple des zones non homogènes sur un carré gris.
Qualité de l’image
Une même séquence filmée avec chaque caméscope a été regardée sur grands écrans par un jury, composé de membres du labo et de journalistes, afin de repérer les défauts liés à la qualité de l’image, tels le bruit en basse lumière et la netteté en mouvement. De plus, une prise de vue d’une nature morte a permis d’apprécier la qualité en mode photo.
Efficacité du stabilisateur
Chaque caméscope est successivement placé sur un agitateur de laboratoire dont la fréquence est ajustée pour simuler les mouvements non contrôlés d’un opérateur. Il filme une cible avec et sans la fonction de stabilisation activée. Les deux séquences vidéo sont analysées image par image à l’aide d’un programme spécifiquement développé par le laboratoire, pour détecter les mouvements parasites visibles sur la séquence, avec et sans stabilisation. Les caméscopes les plus performants atténuent fortement les déplacements de la cible dans les images filmées.
Qualité du viseur LCD
A l’aide d’un microscope vidéo en grossissement x60, on mesure le pitch (distance entre deux pixels) en relevant le nombre de pixels dans le champ du microscope.
Autonomie
Après avoir chargé à bloc la batterie de chaque appareil, on mesure l’autonomie en enregistrement sur un mini DVD-RW avec le viseur LCD allumé. On filme un chronomètre qui fournit l’autonomie grâce à la dernière image enregistrée avant lextinction, quand la batterie est épuisée.
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