Sensibilité du tuner TNT
La réception numérique est toujours tributaire d’un tuner, dont la sensibilité détermine la qualité de la réception même s’il y a des obstacles ou si l’on est éloigné de l’émetteur. A partir d’une antenne procurant une très bonne réception, le laboratoire a dégradé la puissance du signal reçu à l’aide d’un atténuateur professionnel par bande de fréquences. Ce test a été très discriminant : les résultats vont de ‘ très bon ‘ à ‘ nul ‘ pour trois modèles, incapables de recevoir le moindre signal dans des conditions difficiles.
Facilité d’acquisition et d’organisation des chaînes
Si l’opération est largement automatisée, elle est incontournable pour se caler sur l’émetteur TNT le plus proche. L’acquisition se faisant dans l’ordre des fréquences, il est nécessaire de pouvoir reclasser les chaînes selon un ordre plus intuitif et, parfois, de changer leur nom. Les logiciels pour réaliser ces opérations sont inégaux. Certains ne permettent pas de reclasser.
Latence au zapping
Inconvénient du numérique, le changement de chaîne n’est pas instantané. Des écarts importants, et parfois gênants, limitent la capacité à zapper d’une chaîne à l’autre. Un scénario où l’on change cinq fois de chaîne à la télécommande est pris en compte. On a mesuré le temps qui s’écoule entre la première pression de touche sur la télécommande et l’affichage de la dernière des cinq chaînes. Pour deux adaptateurs, le temps total dépasse les 18 secondes, soit plus de 4 secondes en moyenne, ce qui est inacceptable.
Taux d’occupation du processeur
Le décodage numérique de la TNT et l’affichage de la vidéo sont réalisés par le processeur du PC. Le laboratoire a vérifié quel pourcentage des ressources du processeur était nécessaire pour faire fonctionner l’adaptateur. Les plus mauvais consomment un tiers des ressources dun Athlon 64 4000+.
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