Comme les platines DVD-DivX, les disques durs multimédias permettent de lire de nombreux fichiers audio et vidéo sur un téléviseur ou une chaîne. Mais sans avoir à graver de CD !
Depuis quelque temps, on voit se multiplier les disques durs dits ‘ multimédias ‘ . Y compris dans les catalogues de promotions de supermarchés ?” preuve, s’il en est, d’une réelle démocratisation. De quoi s’agit-il ? Tout simplement de disques durs externes, auxquels on a ajouté les composants électroniques et la connectique nécessaires pour lire des fichiers multimédias (photos, musiques, vidéos) et se brancher sur un téléviseur et/ou une chaîne hi-fi. Quand ils sont connectés à un ordinateur ?” via une liaison USB, par exemple ?”, ces appareils hybrides font office de disques durs traditionnels, en stockant toutes sortes de fichiers. Quand on les relie à des appareils audio et vidéo, ils se transforment en lecteurs de salon universels. De fait, utilisant les mêmes puces que les platines récentes, qui acceptent tous les formats de CD et de DVD, les disques durs multimédias sont capables de lire des MP3 et des DivX ! Bien entendu, ils se pilotent comme de banales platines, avec une télécommande (fournie) et un système de menus à l’écran (OSD) affichant les dossiers et les fichiers multimédias présents.L’avantage par rapport aux platines DVD/DivX : il n’est plus nécessaire de graver des CD ou des DVD. Selon la capacité du disque (certains modèles atteignent les 500 Go), on peut stocker une multitude d’albums de musique, de photos, et de films sans avoir à jongler avec des galettes. Cette apparente simplicité d’emploi cache néanmoins plusieurs problèmes. A commencer par la connexion au téléviseur. Sur un écran cathodique, la meilleure qualité d’image s’obtient en RVB (séparation des composantes rouge, vert, et bleu) par la prise Péritel, tandis que la liaison HDMI est recommandée pour les modèles plats de type LCD ou plasma. Or, parmi les sept disques durs sélectionnés pour ce comparatif un seul dispose d’une sortie Péritel en RVB, et deux proposent une connexion DVI (cette dernière est compatible HDMI, mais nécessite l’achat d’un câble DVI/HDMI). Du coup, dans la plupart des cas, il faut se contenter d’une liaison Composite ou S-Vidéo, et donc d’une qualité d’image très perfectible… Pas de souci, en revanche, pour l’audio, puisque tous les modèles offrent une sortie analogique (connecteurs RCA) et une sortie numérique pour un branchement sur un amplificateur de type home cinéma.Mais le principal problème rencontré avec les lecteurs multimédias, quelle que soit leur nature, reste la compatibilité avec la multitude de formats utilisés aujourd’hui. Et si tous les disques durs multimédias sont capables de lire les plus courants (JPeg pour la photo, MP3 pour l’audio, DivX, XviD, MPeg1 et MPeg2 pour la vidéo), rares sont les modèles lisant les fichiers directement issus d’un DVD-vidéo (Vob) ou ceux encodés avec les options QPel (Quartel Pixel) et GMC (Global Motion Compensation) du DivX 5, par exemple. De même, le DivX 6 est soit refusé, soit accepté mais sans ses fonctions évoluées (chapitres et menus). Quant à la vidéo en HD, seuls quelques appareils l’acceptent. Idem en audio, les formats WMA et Ogg n’étant pas gérés par tous les modèles. Le constat est identique pour les fichiers de sous-titre, de type SRT couramment utilisés pour les DivX (films en Vost, séries TV). Des problèmes aussi rencontrés sur les platines DVD-DivX, les puces de décodage étant similaires…De la même façon, on note une grande disparité dans la qualité de lecture et d’affichage, avec, parfois, des vidéos saccadées ou des photos déformées. Autant de points très difficiles à évaluer avant l’achat, sans effectuer des tests approfondis, les spécifications annoncées sur les emballages et dans les documentations étant parfois vagues ou incomplètes… Heureusement, comme les platines DVD-DivX de salon, les disques durs multimédias peuvent combler certaines de leurs lacunes, voire corriger quelques défauts grâce à des mises à jour de leur firmware. A condition que leurs constructeurs se donnent la peine d’en publier sur leur site Web…
Des connexions en plus Pour échanger des données avec le PC, les disques disposent d’une interface USB 2.0. Mais certains constructeurs se distinguent en proposant d’autres moyens d’accès.
Certains disques durs multimédias sont dotés d’une interface Wi-Fi. Ce qui permet de les relier sans fil au réseau de la maison pour partager et transférer des fichiers avec différents ordinateurs.
Les prises de type USB Host servent à connecter d’autres périphériques USB ?” par exemple, une clé USB ou un autre disque externe. Ces périphériques deviennent alors une extension du disque multimédia, qui accède directement à leurs fichiers audio, photo, et vidéo.
Comme quelques platines DVD-DivX, certains disques possèdent un lecteur de cartes mémoire permettant de lire directement des photos, mais aussi des fichiers audio, voire des vidéos.
Glossaire Algorithme de codage et de décodage de fichiers audio ou vidéo. Sur un PC, il vient compléter un logiciel de lecture ou d’encodage ; sur un disque dur multimédia ou une platine DivX, les codecs sont intégrés au firmware.
Logiciel interne gérant le circuit de décompression et toutes les fonctions des disques durs multimédias, et déterminant les différents formats de fichiers audio, vidéo, et photo acceptés. Il peut être mis à jour pour apporter de nouvelles fonctions et corriger des bogues à l’aide de fichiers à télécharger et à copier sur le disque dur.
Interfaces audio numériques, utilisées pour relier un appareil audio-vidéo à un amplificateur home cinéma. La première (Toshiba Link) nécessite l’utilisation d’un câble en fibre optique ; la seconde (Sony/Philips Digital Interface) fonctionne avec un câble coaxial à prises RCA.
Interface vidéo analogique qui sépare la luminance et la chrominance. Sur les appareils vidéo, elle se présente sous la forme de trois prises (rouge, verte, et bleue).
Ce qui est important Un disque dur multimédia se révèle d’autant plus simple d’emploi qu’il accepte un grand nombre de formats de fichiers vidéo, audio, et photo, tant en termes de conteneurs (AVI) que de codecs (DivX, XviD, etc.). Tous les modèles lisent les formats les plus courants (JPeg en photo, MP3 en audio, DivX, MPeg1 et MPeg2 en vidéo), mais pas toujours dans toutes leurs déclinaisons, le DivX 6 n’étant parfois pris en charge que partiellement.
Au c?”ur des disques durs multimédias, se trouve le circuit de décodage chargé de lire les fichiers. C’est des caractéristiques techniques de cette puce que dépendent les possibilités de lecture, en termes de formats reconnus, mais aussi de fonctions et de qualité. A l’heure actuelle, les circuits Sigma Design gèrent de plus hautes définitions que ceux signés ESS. Notez que les possibilités du circuit sont aussi liées au firmware, qui peut évoluer par mise à jour.
La connexion à l’ordinateur s’effectue en général par le port USB, voire par une interface réseau (filaire ou Wi-Fi). Tous les disques sont dotés d’une sortie Composite pour un branchement sur le téléviseur (certains constructeurs livrent un adaptateur Péritel). Pour une meilleure qualité d’image, il est conseillé de choisir des modèles dotés de sorties DVI, YUV, ou RVB. Attention : les constructeurs ne livrent souvent que des câbles RCA audio et vidéo.
L’utilisation des disques durs multimédias est facilitée par le système de menus et de navigation qui s’affiche à l’écran (OSD), ainsi que par la qualité de la télécommande. Cette dernière doit offrir une bonne prise en main avec des touches grandes et espacées, qui s’enfoncent correctement. L’affichage des noms de fichiers à l’écran doit comporter suffisamment de caractères pour être lisible. Certains modèles bénéficient aussi d’un écran LCD en façade.
Comment nous avons testé La rapidité d’accès et de transfert des données est mesurée de deux façons différentes. Tout d’abord, le logiciel HD Tach mesure les performances ‘ brutes ‘ des disques, avec la vitesse de lecture et le temps d’accès moyen. La seconde série de mesures simule des conditions réelles d’utilisation, avec la lecture et l’écriture de fichiers de grande taille (images Iso de 700 Mo), puis de fichiers de petite taille (MP3 de quelques mégaoctets). La qualité vidéo est ensuite évaluée avec un analyseur vidéo, qui mesure la bande passante et le rapport signal/ bruit des composants utilisés dans les disques (1) . Enfin, un jury formé d’ingénieurs et de journalistes a noté la qualité de décodage des disques en affichant une photo JPeg de 6 mégapixels et une séquence vidéo XviD sur un téléviseur LCD en utilisant la meilleure connexion possible.
Les ingénieurs de notre laboratoire ont testé les disques durs multimédias avec une large sélection de fichiers vidéo, audio, et photo, issus du site divxtest.com . Les tests de compatibilité vidéo mettent d’abord en ?”uvre des fichiers MPeg1, MPeg2 et MPeg4 (formats XviD et DivX dans les versions 3.11, 4, 5, et 6) (2) . La haute définition est également testée avec des fichiers (WMV9, MPeg4 HD, et H. 264). Pour la prise en charge des sous-titres, les ingénieurs ont utilisé des fichiers au format SRT, SUB, SSA, SMI, et IDX. Les tests de compatibilité audio ont mis en ?”uvre non seulement des fichiers MP3 (CBR et VBR), mais aussi des fichiers aux formats Ogg, AAC, WMA, et WMA Pro. Enfin, pour tester la compatibilité photo, les ingénieurs de notre laboratoire ont utilisé des fichiers JPeg, Gif, BMP, Tiff, PNG, et PCX.
Les choix de l’Ordinateur Individuel Freecom Network MediaPlayer -350 HD/WLAN 400 Go : le plein de fonctions
Vendu 349 euros, ce modèle haut de gamme se distingue par sa qualité d’affichage sur un écran plat grâce à son interface DVI. On apprécie la grande variété des fichiers multimédias pris en charge, avec, en plus, la compatibilité avec les formats HD WMV9 et Mpeg4. Le transfert des fichiers avec le PC s’effectue non seulement en USB 2.0, mais aussi en réseau filaire ou sans fil.
Storex mpix 356 : l’essentiel à tout petit prix
Ce modèle à tout petit prix (129 euros seulement pour une capacité de 320 Go !) n’offre pas autant de fonctions que ses homologues haut de gamme (pas de sous-titres, pas de 16/9…). Mais il gère la majorité des formats audio, vidéo, et photo tout en offrant une bonne qualité d’affichage. Un excellent choix pour les non-spécialistes.
A notre avis : Ergonomie : peut mieux faire ! Lorsqu’on achète un disque dur multimédia, on s’attend à pouvoir l’utiliser avec autant de facilité qu’un lecteur DVD de salon. Hélas, les constructeurs ont tendance à négliger l’ergonomie de la télécommande, ainsi que celle du système d’affichage des menus et de la navigation à l’écran (OSD). Sur les sept modèles testés, seul le Peekbox 4 possède un OSD simple d’emploi. Outre la difficulté de naviguer dans les menus, on déplore parfois un affichage des noms de fichiers peu lisible et des blocages pouvant nécessiter un ‘ reboot ‘ du disque. Bref, de quoi sérieusement gâcher une bonne soirée vidéo devant sa télévision.
Network MediaPlayer-350 HD/WLAN 400 Go – Freecom : Le plein de fonctions Vainqueur de notre comparatif, le Network MediaPlayer-350 HD/WLAN 400 Go est recommandé pour les utilisateurs avertis recherchant une bonne qualité d’affichage pour les photos et les vidéos. Citons en particulier les possesseurs de téléviseurs LCD, car ces derniers possèdent une entrée HDMI, compatible avec l’interface DVI de l’appareil (attention : le câble adaptateur n’est pas livré). Sinon, le disque dispose également de sorties YUV, S-Vidéo, et Composite, ainsi que de sorties audio analogiques et numériques (optique et coaxiale). Ce modèle est le seul à mériter l’appellation HD car non seulement il possède un mode d’affichage Full HD (1 920 x 1 080 points), mais c’est aussi le seul capable de lire les deux formats vidéo HD 1080p (WMV9 et MPeg4). Il est compatible avec la plupart des formats vidéo, à l’exception du DivX 6. Signalons qu’il est très facile de mettre à jour le firmware de l’appareil pour corriger d’éventuels bogues. Autre point fort, le Network MediaPlayer-350 HD/WLAN 400 est conçu pour s’intégrer dans un réseau personnel, puisqu’il est doté non seulement d’un port USB 2.0, mais aussi d’interfaces Fast Ethernet et Wi-Fi 802.11g. Signalons également le port USB Host pour brancher un autre périphérique de stockage (une clé USB, par exemple) et en copier ou lire les fichiers multimédias. Si les fonctions sont séduisantes, l’ergonomie, elle, reste perfectible. Le système d’affichage à l’écran (OSD) déçoit avec ses menus en anglais, tandis que la télécommande comporte des touches trop serrées et peu réactives. Enfin, la façade de l’appareil est sobre, avec des boutons de commande et trois diodes d’activité.
Points forts
Qualité d’affichage Gestion des formats HD Sortie DVI Interfaces réseau et Wi-Fi Port USB Host
Points faibles
Pas de gestion du DivX 6 OSD en anglais
Prix
349 euros
nmp2 – Neonumeric : Bonne compatibilité Le nmp2 est le seul modèle du comparatif à intégrer dans son boîtier un lecteur de cartes mémoire (SD/MMC/MS), placé en façade. Ainsi, les possesseurs d’appareils photo numériques peuvent afficher directement sur leurs téléviseurs le contenu de leurs cartes. On apprécie également l’écran LCD, qui indique, entre autres, le nom du fichier en cours de lecture. Le disque possède des sorties vidéo et audio classiques, mais se révèle encombrant et lourd (1,66 kg). Le disque interne de 250 Go obtient des performances un peu en retrait pour les taux de transfert, sans que cela soit critique pour les gros fichiers. Le nmp2 accepte quasiment tous les fichiers audio et vidéo, dont le DivX 6 (même si les fonctions de menus et de chapitres ne sont pas prises en charge). Par contre, notre jury a été déçu par la qualité d’affichage des vidéos sur un téléviseur (la qualité est correcte pour les photos). Enfin, les utilisateurs seront désagréablement surpris par la très petite taille de la télécommande à la réactivité moyenne.
Points forts
Ecran LCD en façade Lecteur de cartes mémoire Compatibilité partielle avec le DivX 6
Points faibles
Lourd et encombrant Télécommande très petite Qualité d’affichage des vidéos décevante
Prix
150 euros
TViX M-3100U – DVico : Pour le look Ce TViX M-3100U séduit surtout par son design. Il ressemble à une minichaîne hi-fi (sans les enceintes !) et dispose d’un écran LCD semblable à celui figurant sur les lecteurs de DVD. Il trouve facilement sa place dans le salon, et se manipule aisément à distance grâce à sa télécommande aux touches suffisamment espacées et dotées d’une bonne réactivité. Dommage que le constructeur n’ait pas autant soigné l’ergonomie du système d’affichage à l’écran (OSD). L’appareil est bien équipé, avec ses nombreuses prises à l’arrière. Mais il ne se démarque pas des autres modèles. Même constat en ce qui concerne la compatibilité avec les différents formats des fichiers multimédia (seul le DivX 6 n’est pas accepté). Signalons que le disque se change très facilement en cas de besoin, et que le firmware peut être mis à jour. Les amateurs de photos numériques apprécieront la très bonne qualité d’affichage, mais le rendu des vidéos se révèle décevant.
Points forts
Beau design du boîtier Disque interne simple à changer
Points faibles
Pas de gestion du DivX 6 Qualité d’affichage des vidéos décevante
Prix
229 euros
mpix 356 -Storex : L’essentiel à tout petit prix Ce modèle à prix très serré constitue un excellent choix pour ceux qui recherchent une bonne capacité de stockage (320 Go), mais n’ont pas forcément besoin de fonctions évoluées. Ainsi, le mpix 356 accepte les principaux formats, dont le DivX 6 (sans menu ni chapitre), mais refuse les fichiers Vob et les arborescences de DVD. Et il ne gère ni les sous-titres séparés ni l’affichage en mode 16/9… Certes, l’ergonomie de l’OSD est perfectible (les caractères spéciaux ne sont pas affichés dans les noms de fichiers), et la télécommande possède des touches bien espacées, mais trop dures. Mais l’essentiel est là. D’autant que le mpix 356 obtient de bonnes notes pour la qualité d’affichage des photos et des vidéos. Et pour les amateurs de photos, la navigation dans les dossiers est facilitée par une fonction de prévisualisation. Un excellent choix pour le prix.
Points forts
Prix attractif Bonne qualité d’affichage Prévisualisation des photos
Points faibles
Pas de sortie S-Vidéo Non compatible avec les fichiers de sous-titres Pas de gestion du format : 16/9
Prix
129 euros
Media Disk – Memup : Simple à brancher Le Media Disk est le seul modèle facile à brancher sur un téléviseur cathodique, car il possède une sortie vidéo Péritel RVB. Hélas, il ne possède pas de sortie S-Vidéo. De plus, lors de nos tests, nous avons été très déçus par la qualité d’affichage des vidéos sur notre téléviseur LCD. Ce modèle s’adresse aux grands consommateurs de fichiers multimédias de par sa capacité de stockage très confortable de 500 Go. L’encombrement du boîtier est réduit, mais l’affichage en façade se limite à deux diodes. Le Media Disk accepte les principaux formats de fichiers, dont le DivX 6 (sans menu ni chapitre). Cependant, il refuse les fichiers de sous-titres SRT. On apprécie la prévisualisation des photos dans le navigateur de fichiers, mais on déplore la mauvaise ergonomie de l’OSD et de la télécommande (touches serrées et réactivité médiocre).
Points forts
Sortie Péritel en RVB Encombrement réduit Prévisualisation des photos
Points faibles
Mauvaise qualité d’affichage des vidéos Pas de sortie S-Vidéo Pas de gestion des sous-titres SRT
Prix
299 euros
Peekbox 4 – Peekton : Très bien équipé Dans ce comparatif, le Peekbox 4 obtient la deuxième place grâce à son très bon niveau d’équipement et à son excellente ergonomie. Il offre un large choix d’interfaces, tant pour la vidéo (DVI, YUV, S-Vidéo, ou Composite) que pour la connexion avec le PC. Bref, rien ne manque, et le boîtier possède même à l’arrière deux ports USB Host pour brancher une clé USB ou un disque dur externe. Peekton soigne l’affichage avec, en façade, un écran LCD et cinq diodes d’état. En revanche, l’appareil est encombrant et lourd (environ 1,7 kg). Le Peekbox 4 séduira les utilisateurs qui recherchent un niveau de compatibilité élevé, et la simplicité d’utilisation (bonne ergonomie de la télécommande et de l’OSD). Un sans-faute ? Presque. En effet, nous avons obtenu une bonne qualité pour les vidéos avec la connexion DVI mais un résultat catastrophique pour les photos. Quel dommage !
Points forts
Sortie DVI Interfaces réseau avec et sans fil Gestion de nombreux formats de fichiers Bonne ergonomie de la télécommande et de l’OSD
Points faibles
Qualité d’affichage des photos très mauvaise
Prix
299 euros
mpix 357 – Storex : Des lacunes Voilà le grand frère du mpix 356 : le disque le moins encombrant du comparatif. Ce qui ne l’empêche pas de posséder tous les connecteurs audio et vidéo nécessaires. Le boîtier comporte un écran LCD, deux diodes d’état et un port USB Host en façade pour brancher un autre périphérique de stockage. En termes de compatibilité et de fonctions, le mpix 357 ne se distingue pas des autres modèles, et il souffre de quelques lacunes. Ainsi, il ne gère que le format d’affichage 4/3 et n’affiche pas les caractères spéciaux dans les fichiers de sous-titres. De plus, il s’avère impossible de changer de piste audio si la vidéo comporte plusieurs langues. Les débutants seront rebutés par l’OSD affligé de la plus mauvaise ergonomie du comparatif, n’affichant même pas les caractères spéciaux dans les noms de fichiers. La télécommande se révèle réactive, mais possède des touches trop serrées. Enfin, notre jury a été déçu par la qualité d’affichage pour les photos et les vidéos. Reste le prix, attractif.
Points forts
Encombrement réduit Port USB Host
Points faibles
Pas de gestion du format 16/9 Mauvaise ergonomie de lOSD Pas de gestion des caractères accentués
Prix
139 euros
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