A ceux qui douteraient encore de la supériorité des caméscopes numériques sur leurs prédécesseurs analogiques, notre dossier de cette semaine apportera un nouvel argument : la simplicité de transfert des vidéos sur micro. Une seule
manipulation, un seul format.Pour numériser des vidéos analogiques, en revanche, l’opération peut virer au casse-tête. Si l’on a mal choisi son système d’acquisition ou le format de numérisation, c’est la déception assurée : votre belle
vidéo se transforme en film minuscule ou flou.Pourtant, les possesseurs de caméscopes classiques ?” qui sont encore l’écrasante majorité ?” n’ont aucune raison de se priver des joies du montage numérique. Encore un nouveau paradoxe ?” un de plus
?” de l’informatique !On croit que le problème principal sera de s’attaquer au montage, et on se retrouve coincé par de bêtes problèmes de formats, à l’entrée… ou à la sortie : faute de savoir, là encore, dans quel format le convertir,
impossible de graver correctement le film amoureusement fignolé pour le regarder en famille sur son téléviseur.Hélas, l’ordinateur n’est pas encore une machine transparente ; trop souvent, il ressemble plutôt à une boîte noire, qu’il est indispensable d’apprendre à décrypter.
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