Depuis près d’un siècle, les services de police utilisent les empreintes digitales pour identifier suspects et victimes. Désormais, la mode consiste à s’intéresser à leurs oreilles. Deux services distincts, l’unité médicolégale de l’université de Leicester en Grande-Bretagne, et le projet Fear-ID lancé par l’Union européenne s’y intéressent. Comme pour les empreintes digitales, le principe repose sur la forme du pavillon de l’oreille, qui serait propre à chaque individu. Ce système n’est, pour l’instant, pas fiable. Le premier cambrioleur arrêté parce qu’on aurait retrouvé l’empreinte de son… oreille sur une porte a été relaxé ! Toutefois, pour affiner l’identification et éviter les confusions, le projet Fear-ID compte examiner plus de 3 000 paires d’oreilles dici à 2005
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