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Anatomie du scanner à plat

Le scanner à plat est le plus répandu.

D’un usage universel, le scanner à plat est souvent équipé d’un dos comportant un éclairage destiné à numériser les documents transparents. Les professionnels des arts graphiques disposent de modèles dépassant les 5 000 p/p. Cette
résolution est bien plus élevée que celle des scanners courants.

La clé de voûte d’un scanner : son système optique

Le système optique de l’appareil se déplace d’un bloc, entraîné par un moteur. Son pas d’avancement détermine la résolution verticale de l’appareil. Le bloc optique abrite le capteur, la source lumineuse,
l’objectif ainsi que les miroirs. Ces derniers permettent de diriger le flux lumineux sur les éléments à scanner.

Un c?”ur électronique

L’électronique de traitement se charge de convertir les données analogiques, fournies à la sortie du capteur, en données numériques. Il peut permettre l’élimination des poussières et des rayures (chez Canon et
Microtek).

Quand la lumière vient du capot

Le capot abrite parfois un éclairage destiné à numériser les diapositives placées sur la vitre. Il s’agit d’un éclairage fixe, ou d’une lampe mobile, dont le déplacement est synchronisé avec celui du capteur.

Une lampe qui reproduit la lumière du jour

La lampe est le plus souvent un tube fluorescent, qui émet peu de chaleur et produit une lumière proche de celle du jour.

Une bande blanche pour des copies conformes

La bande blanche sert à l’étalonnage automatique du scanner, pour garantir que le blanc est reproduit à l’identique, sans dominante colorée.

L’interface : USB 2 ou FireWire

L’USB 2 et le FireWire sont aujourd’hui les interfaces de scanners les plus répandues. Elles sont beaucoup plus pratiques que les interfaces parallèle et SCSI, longtemps utilisées.

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Laurent Katz