Clocky, le réveille-matin entend tirer du lit les dormeurs les plus résistants. Comme nombre de ses homologues, il sonne une première fois et patiente de dix à quinze minutes avant de retentir à nouveau. Ces fonctions, banales pour un réveil, se révèlent souvent vaines. Voilà pourquoi des étudiants du MIT (Massachusetts Institute of Technology) ont ajouté un processeur et des roulettes permettant au réveil d’aller se cacher dans un coin de la pièce. A la deuxième alarme, le dormeur est obligé de se lever pour aller éteindre Clocky. Devançant d’éventuelles ruses de son propriétaire, le réveil ne se rend jamais deux jours de suite au même endroit. Et pour amortir ses chutes éventuelles en sautant de la table de chevet, par exemple il est recouvert d’une peau de nounours.Il ne reste plus quà le commercialiser
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.