Ensuite ? Il fallait payer presque les yeux fermés des logiciels en priant pour qu’ils remplissent bien leurs tâches. Déçu ou mal informé ? Dommage pour vous ! Au mieux, le vendeur consentait à échanger le produit,
sinon il finissait dans un tiroir.Fin du cauchemar et retour au présent : télécharger un logiciel en version d’essai permet de porter un jugement avant de l’acheter (parfois il est gratuit) ; pour les éditeurs, voilà une façon commode et honnête
de faire connaître leurs produits.Mais le mécanisme du téléchargement s’est emballé, notamment avec l’usage des systèmes de partage de fichiers dont KaZaA est aujourd’hui l’emblème : musiques, logiciels, vidéos se cueillent aussi
aisément que les pommes sur l’arbre. Or le téléchargement des ?”uvres protégées (qui forment l’essentiel des fichiers mis en partage) est illégal et passible de sanctions réelles.Dans un souci de clarification, nous avons donc complété notre dossier pratique par un article qui met les points sur les ‘ i ‘ à propos des dangers de la cueillette sauvage.(*) Rédacteur en chef de Micro Hebdo
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