- Le grand match des navigateurs Internet
- 1er ex aequo : Chrome, pour les applications en ligne
- 1er ex aequo : Opera, le plus rapide
- 3e : Firefox, le plus extensible
- 4e ex aequo : Safari, Chrome en moins bien
- 4e ex aequo : Flock, pour le Web 2.0
- 6e : Internet Explorer, leader sur le déclin
- 7e : Avant Browser, une surcouche aboutie
- 8e : K-Meleon, des choix pénalisants
- 9e : GreenBrowser, mélange bizarre
- 10e : Slimbrowser, léger et sans relief
- 11e ex aequo : Maxthon, sacrée déception
- 11e ex aequo : Sleipnir, made in Japan
- Ceux que Microsoft a écartés
- Comment nous avons testé les navigateurs
Internet Explorer arrive en milieu de classement. Et c’est justifié tant le navigateur de Microsoft, mis à jour l’an dernier avec l’arrivée de Windows 7, paraît largué en termes de performances face à Chrome, Opera ou Firefox. Pour preuve, ses résultats aux tests de rapidité Javascript où il est à peu près dix fois plus lent que ses concurrents ! Quid de la rapidité de fonctionnement et d’affichage vantée par Microsoft dans ses publicités ? 3,6 s pour une ouverture « à froid » (ce temps peut décroître au fil du temps sous Windows 7, mais la remarque est valable pour tous les navigateurs), 16 s pour l’ouverture de 10 onglets… Bref, pas de quoi pavoiser.
Qu’est-ce qui fait remonter IE8, dans ce cas ? Déjà, son ergonomie : depuis la version 7 du navigateur, Microsoft a épuré l’interface et simplifié les menus. C’est certes un peu perturbant quand on a connu les moutures précédentes, mais il faut reconnaître que le résultat est plutôt réussi. L’autre point fort d’IE, c’est sa grande évolutivité : de nombreux plug-ins, barres d’outils et désormais des « accélérateurs » (des fonctions s’ajoutant aux menus contextuels) sont proposés sur le site ieaddons.com.
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