N’en déplaise aux aficionados du logiciel libre, le pingouin vedette en ce moment n’est pas la mascotte de Linux (qui est d’ailleurs un manchot), mais l’animal que des dizaines de millions d’internautes ont adopté comme souffre-douleur (voir Clin d’?”il des nos 305 et 309 de Micro Hebdo ).A propos, si vous êtes un adepte, sachez que le troisième opus du jeu est disponible sur www.yetisports.org. Ayant moi-même succombé à la pingouinomania, comme nombre de mes collègues de la rédaction, je cherchais avec Google des variantes du jeu officiel il en existe une petite dizaine. Et je suis tombé par hasard sur le Penguin Chat, un espace de tchate visuel dans lequel le pingouin est à l’honneur. Car ici, tout le monde est un pingouin ! Tout en discutant, vous pouvez déplacer l’adorable animal sur la banquise (virtuelle), le faire participer à une bataille de boules de neige ou encore s’asseoir ou danser.S’il y a foule sur la banquise, réfugiez-vous dans l’igloo où un orchestre de pingouins joue de la musique (mais on n’entend rien). Voilà un espace de tchate plutôt original, dans l’air du temps, et graphiquement très réussi. Conviez des amis à vous y rejoindre, le lieu étant surtout fréquenté par des anglophones. Seul, vous serez probablement plus enclin à lancer des boules de neige quà discuter avec des pingouins inconnushttp://rocketsnail.com/chat/penguin
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