- Les 10 plus gros scandales de la micro
- 1. Les imprimantes et le tarif exorbitant de l’encre
- 2. Les protections sur les fichiers numériques
- 3. La vente liée ordinateur-système d’exploitation
- 4. L’impossibilité de comparer des produits ou des services
- 5. La rémunération pour copie privée
- 6. La hausse des forfaits ADSL
- 7. L’explosion du non-durable
- 8. Le DisplayPort
- 9. Windows Vista et ses problèmes
- 10. Deux supports vidéo Haute Définition
Les verrous sur la musique et les films en ligne sont trop contraignants pour l’utilisateur au quotidien. Si les choses tendent à évoluer, tout n’est pas encore réglé.Qui dit musique en ligne pourrait penser simplicité et rapidité. Mais c’est plutôt de contraintes qu’il s’agit : nombre limité de transferts sur un baladeur, difficulté pour exploiter un même fichier sur plusieurs ordinateurs… En cause : les mesures techniques de protection, en anglais Digital Right Management (DRM), qui restreignent l’utilisation de ces fichiers acquis en toute légalité. Quant aux tarifs, ils sont loin d’être si avantageux : 1 euro le titre et 10 euros l’album, c’est à peine mieux que l’achat du CD correspondant.Toutes ces limites pénalisent donc le marché de la vente de musique en ligne. Heureusement, le secteur évolue et les maisons de disques revoient leur copie. Depuis quelques mois, les plates-formes de téléchargement (Fnacmusic, Virginmega…) introduisent des catalogues dits ‘ MP3 ‘ ?” sous-entendu sans DRM ?” dans leurs offres. Mais ces morceaux sans restrictions côtoient encore les catalogues protégés, plus fournis et intégrant les dernières nouveautés. Sur iTunes Store, la plate-forme leader contrôlée par Apple, il est possible d’accéder à iTunes Plus : une sélection de titres sans protection, au même tarif. Mais il est difficile de trouver le chemin vers iTunes Plus dans la boutique en ligne, et tous les titres ne sont pas présents.À quand la fin totale des limitations ? Le chemin est encore long si l’on en croit certaines offres de musique illimitées telles que Neuf Music ou Orange Music Max, toutes deux liées à un abonnement mensuel et basées sur des mesures de protection. Sur la première, l’arrêt de l’abonnement coupe toute lecture possible des titres téléchargés. Quant à la seconde, si les morceaux sont acquis définitivement, leur transfert sur un baladeur ou un autre PC est limité en nombre !
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