- Le grand match des navigateurs Internet
- 1er ex aequo : Chrome, pour les applications en ligne
- 1er ex aequo : Opera, le plus rapide
- 3e : Firefox, le plus extensible
- 4e ex aequo : Safari, Chrome en moins bien
- 4e ex aequo : Flock, pour le Web 2.0
- 6e : Internet Explorer, leader sur le déclin
- 7e : Avant Browser, une surcouche aboutie
- 8e : K-Meleon, des choix pénalisants
- 9e : GreenBrowser, mélange bizarre
- 10e : Slimbrowser, léger et sans relief
- 11e ex aequo : Maxthon, sacrée déception
- 11e ex aequo : Sleipnir, made in Japan
- Ceux que Microsoft a écartés
- Comment nous avons testé les navigateurs
Lui au moins n’usurpe pas son nom : une fois installé, Slimbrowser occupe moins de 4 Mo sur le disque dur. À comparer à la cinquantaine de mégaoctets requis pour Chrome ou Safari… Cette surcouche légère n’offre pas la plus belle des interfaces, mais elle est personnalisable à l’aide d’un peu plus de 160 habillages.
Ses performances sont semblables à celles de toutes les surcouches pour IE : environ 4 000 ms pour accomplir l’ensemble des instructions du test Javascript Sunspider (c’est donc bien lent), autour de 1 000 points sous Peacekeeper, et des vitesses de démarrage (3,3 s) et d’ouverture d’onglets (14 s) sans relief. Seule particularité notable, sa gestion (maladroite) des groupes, qui permet de créer des groupes de sites afin de les ouvrir simultanément. Mais pourquoi ne pas avoir intégré cela à la gestion des signets ?
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