Haro sur les pirates !
Comment planifier une tâche de synchronisation
1. Les critères de choix
1 février 2003 à 00:00
Les ultraportables les plus légers ou les moins encombrants n’offrent pas forcément les mêmes performances que les modèles plus lourds. Suivez nos conseils si vous voulez éviter les mauvaises surprises.
Rapidité : Avantage à Intel Le processeur influe beaucoup sur la rapidité. Dans la gamme des ultraportables, Intel propose deux types de Pentium III : les modèles M et M Low Voltage. Le premier offre les fréquences les plus élevées (1,2 GHz, contre 933 MHz). Le second consomme moins d’énergie. Transmeta, avec ses processeurs Crusoe, n’arrive pas à égaler Intel sur le terrain de la vitesse. Les portables Vaio PGC-C1MHP, de Sony, et A2, de Gericom, équipés respectivement de Crusoe à 867 et 800 MHz obtiennent les moins bons résultats de rapidité de notre sélection, avec des notes deux à trois fois moins bonnes que celles des modèles à base de Pentium III M à 1,2 GHz. Mais leur rapidité reste suffisante pour la bureautique. Autre élément important : la puce graphique. Les modèles dotés d’une puce Radeon Mobility, d’ATI, se sont distingués dans nos tests et permettent même de se divertir avec des jeux en 3D. Équipant la moitié des ultraportables sélectionnés, la puce graphique intégrée d’Intel, l’i830, demeure en retrait.
Encombrement/poids : Attention aux tailles d’écran et de clavier Les machines testées ne pèsent pas plus de 2 kg. Et certaines flirtent avec le kilogramme, comme le Vaio PGC-C1MHP, de Sony. Pour cela, les constructeurs suppriment le maximum d’éléments internes : l’unité de disquettes, le lecteur de CD ou de DVD, le graveur de CD. La réduction des dimensions se fait au détriment de la taille des écrans et des claviers. Le Lifebook S6010, de Fujitsu-Siemens, offre le plus large affichage : 13,3 pouces. Les autres ultraportables se contentent d’un écran de 12,1 pouces, voire moins. Et les claviers sont plus petits que ceux des portables classiques, ce qui peut nuire au confort de frappe.
Richesse des composants en standard : Priorité à la connexion et à la communication Étudiez bien la configuration de base des ultraportables. Certains constructeurs ne fournissent en standard ni lecteur de disquettes, de CD, ou de DVD, ni graveur de CD. D’autres les livrent en version externe, ou dans une station d’accueil. Or, un lecteur optique (de CD ou de DVD) s’avère indispensable. Plus pratique, un combo (graveur de CD plus lecteur de DVD) compensera l’absence d’un lecteur de disquettes pour l’échange de données. En matière de connexion, les ultraportables les mieux lotis disposent de ports USB 2.0 ou FireWire pour brancher les périphériques externes (disques durs, caméscopes numériques) de dernière génération. Certains intègrent des modules de communication sans fil Bluetooth (débit de 721 kbit/s sur 10 m) ou Wi-Fi (11 Mbit/s sur 100 m) en version de base ou en option.
Station d’accueil : Base pour lecteur optique Vous pouvez pallier l’absence d’unité de disquettes et de lecteur optique internes. Certains constructeurs proposent des stations d’accueil en standard ou en option. Des baies multi-usages peuvent recevoir des unités de CD-ROM, de DVD, ou des graveurs de CD. Toutefois, l’ensemble, portable et station, retrouve l’encombrement et le poids d’un notebook A4 classique : environ 3 kg. Dans notre banc d’essai, seuls six produits disposent de station d’accueil.
Autonomie : Seconde batterie en réserve Les ultraportables ne sont pas les mieux lotis en matière d’autonomie. En effet, les batteries les plus performantes pèsent plus lourd. Or, chaque gramme compte un ultraportable. Dans ce comparatif, en usage intensif, l’autonomie va de 63 minutes à près de 4 heures. Pour l’améliorer, certains constructeurs proposent d’ajouter une seconde batterie au portable, ce qui augmente aussi son poids.
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