Outre Windows 2000, EMC, qui a repris le constructeur Data General l’été dernier, affirme que ce contrat de support s’étend à Exchange Server et à SQL Server 7.0 (ce qui était déjà le cas sous NT 4). Pour cela, EMC s’engage à former et à certifier 400 ingénieurs à Windows 2000 dans les douze prochains mois.
Mais la haute disponibilité annoncée ne s’obtiendra pas sans conditions pour le client. Premièrement, EMC impose un audit préalable de son architecture informatique. Ensuite, il lui faudra installer Windows 2000 en cluster.
De plus, le constructeur reste silencieux sur des points importants : qui supporte le coût de l’audit ? Quid des pénalités en cas d’indisponibilité dépassant 0,1 %, cest-à-dire plus de 8,7 heures par an ?
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