Dévoilée en mai 2002 lors de developerWorks Live 2002, la version 5.0 du serveur d’applications d’IBM débute sa carrière. La brique d’infrastructure Java “met l’accent sur les services web comme type de données d’échange, mais également sur l’autoadministration”, indique Alain Rabenandrasana, responsable des produits WebSphere. Fortement intégré, WebSphere est livré avec une palette d’outils, auparavant livrés séparément. À commencer par Tivoli Access Manager, accompagné de la passerelle Web Services Gateway. Access Manager prend en charge l’accès sécurisé aux applications de l’entreprise, ainsi que les règles d’identification d’un utilisateur, stockées dans un annuaire UDDI privé. IBM introduit aussi des fonctions d’autoadministration. Elles reposent sur des utilitaires de configuration, de diagnostic et d’optimisation. Des fonctions partagées en partie avec Tivoli Access.
Masquer WSDL
Autre outil, IBM fournit Apache Axis 1.0, un serveur d’invocations Soap, qui automatise l’appel d’applications distantes grâce à la classe spécialisée JAX-RPC (Java API for XML-based RPC). Ces classes sont issues des spécification J2EE 1.4, en cours de finalisation. IBM fournit aussi l’environnement Web Services Invocation Framework (WSIF), un outil dynamique destiné à l’appel de composants distants, pour masquer l’utilisation du dialecte WSDL, et des enveloppes Soap. IBM WebSphere 5.0 est vendu à partir de 8 000 dollars en version standard.
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