Crée en 1996, la société française s’est imposée face aux grands noms du workflow (IBM, FileNet, StaffWare, etc.). Servie par une politique commerciale agressive, elle revendique 250 clients grands
comptes environ pour ses solutions et 500 000 licences utilisateurs dans le monde.Avec la version 5 de W4 Suite, son moteur développé en Java, l’éditeur a souhaité faciliter la modélisation, le déploiement et la sécurité des applications depuis son workflow. Dans cette optique, plusieurs
modèles de formulaires prédéveloppés et modifiables sont proposés et évitent toute étape de création graphique. La suite ne va pas toutefois jusqu’à livrer des modèles de workflow clés en main.Autre innovation, le développeur dispose d’un module de tests pour valider les différentes étapes du workflow en simulant les procédures utilisateurs et les droits d’accès. Il peut également coder une
étape directement dans le moteur, sans avoir à la modéliser, comme par exemple, programmer un appel aux fonctions d’un
EAI.Le moteur du workflow accepte désormais l’import de requêtes SQL existantes et ne se limite plus à celles créées par le programmeur. Une fois testée, l’application W4 Suite se déploie à la fois sur les
plates-formes Java, ASP et ASP.NET.Un mécanisme de signature unique (SSO) facilite l’accès des utilisateurs aux applications reliées par le workflow. Ceux-ci n’ont plus
qu’à s’authentifier avant d’accéder à W4 Suite.
Chiffrer les formulaires
Le nouvel arsenal sécuritaire comprend un dispositif de signature électronique et permet de chiffrer les formulaires. W4 exploite pour cela Bouncy Castle, une solution open source et IAIK, disponible en option.
L’administrateur dispose d’une console remodelée entièrement écrite en Java.Enfin, les connecteurs vers les bases de données et les applications ont été réécrits pour gérer plus facilement les montées en charge. Un nouveau connecteur pour IBM DB2, Windows et AIX complète le tableau.
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