Après avoir équipé les utilisateurs, depuis près de quinze ans, de micros de plus en plus puissants pour se débarrasser de ces ‘ affreux mainframes centralisateurs ‘, j’ai enfin pu rééquilibrer les
choses, d’abord en utilisant des technologies TSE/MetaFrame qui évitaient de ne plus saturer inutilement le réseau en ayant des temps de réponse corrects, puis en essayant, comme tout le monde, de mettre en ?”uvre ce fameux
‘ client léger ‘ grâce à la technologie Internet et à ses navigateurs.Enfin le bonheur, avec un retour à cette bonne vieille centralisation sur un serveur facile à gérer et à sauvegarder (ouf ! je peux enfin le dire sans passer pour un dinosaure). Comble de l’efficacité, les postes de travail
n’ont plus besoin de puissance car ils ne font plus rien, ou si peu qu’il n’est plus nécessaire de renouveler le parc micro à cause de la gourmandise de la partie client des applications.Tout bon progiciel doit pouvoir fonctionner sur un 386 (c’est écrit dans les plaquettes, alors ça doit être vrai). Une fois de plus, j’ai tout faux, car Bill et les autres veillent au niveau des ventes de micros (il faut
bien qu’Intel vive aussi).Pas moyen de faire tourner proprement Windows XP et la suite Office correspondante (là, c’est Bill), pas plus d’ailleurs qu’un tant soit peu de code Java sérieux (là, ce sont les autres), sans poste de travail avec
au moins un Pentium III et 256 Mo de mémoire vive. Il paraît que c’est le progrès ! Et je vais continuer à renouveler le parc micro, actualiser les serveurs, en rajouter…* MM. Red, Green, Yellow et Purple sont cadres dans des services informatiques. Chaque mercredi, à tour de rôle, ils vous font partager le fruit de leur expérience. Cette semaine, Mister Green… Prochaine chronique mercredi 16 avril
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