Parmi elles, on distingue quelques fleurons, comme American Express, Ariba ou Broad Vision. À ce rythme-là, plus de 70 % des grandes valeurs américaines cotées seront concernées !Le Nasdaq, la Bourse électronique des valeurs technologiques, aurait pu choisir un autre moment pour débarquer en Europe (voir LNH du 30 mars). Mardi dernier, l’indice chutait de 6,14 %, pour atteindre son plus bas de l’année à 1672 points. Soit une baisse de 30 % depuis le début de l’année. La palme revient à l’éditeur de logiciels Inktomi, qui affichait une baisse de 51,45 % à 3,02 dollars. L’arrivée du Nasdaq est pourtant nécessaire à la modernisation des marchés du Vieux Continent, et à la création d’un marché mondial ouvert sept jours sur sept, vingt-quatre heures sur vingt-quatre et tout autour de la planète. Il ne faudra pas, pour autant, regretter le temps de la clôture à la Bourse de Paris. Les marchés seront plus liquides. Mais contraire-ment à une idée reçue, il est historiquement prouvé que plus les marchés sont liquides, plus ils sont volatiles à court terme mais performants à moyen terme !
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