Depuis la création des Webcity et autres Cityvox, le city-guide sur Internet est une figure imposée du réseau, plus proche du concept éprouvé que de l’idée neuve.Malgré tout, Vivalaville.com est soutenu et cofinancé par trois grands titres de la presse quotidienne régionale (le Télégramme de Brest, le Républicain lorrain et l’Alsace).Pour garantir l’homogénéité de l’ensemble, tous les sites ont des noms de domaine construits sur le même modèle (vivabrest.com, vivametz.com). Ce réseau très décentralisé a la particularité d’allier informations pratiques et contenu rédactionnel local fourni.Les sites sont alimentés quotidiennement par une équipe de 70 cyber-journalistes, “tous détenteurs de la carte de presse” selon Francis Jaluzot, actuel directeur général de la société.On y aborde de manière conviviale et pratique une centaine de rubriques et sous-thèmes, censés couvrir tous les aspects de la vie quotdienne.L’objectif affiché est de séduire le “consommateur urbain”, ce cadre, quadra, marié avec enfants qui, selon les études de marché, est à Internet ce que la ” ménagère de moins de 50 ans ” fut un temps à la télévision.Pour sa première année d’exercice, Vivalaville.com a réalisé 1,5 million de francs de chiffre d’affaires et ses responsables ambitionnent 60 millions de francs à l’horizon 2002.
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