Ce système, que Visa baptise ” u-commerce “?” pour universal commerce ?” est surtout un moyen pour l’Américain de se placer dans la course au paiement par téléphone mobile. C’est également une occasion pour la société de faire un peu de publicité en remettant au goût du jour les diverses initiatives lancées depuis le début de l’année.Visa est en effet à l’origine en mars dernier de Visa XML Invoice, un standard de facturation électronique, rebaptisé en juin Global Invoice Standard. En juin, c’était au tour de 3-Domain, un système sécurisation de paiement en ligne, d’être annoncé.
Dernière initiative en date : le lancement aux Etats-Unis de DirectExchange, un réseau sécurisé privé, censé permettre un paiement quel que soit le type d’appareil utilisé, sur Internet ou dans le monde réel.Cette stratégie a tout l’air de fonctionner : selon lorganisme, 50 % des paiements sur Internet se font par son intermédiaire. Basé en Californie, au siège de Visa, e-Visa International emploiera 30 ingénieurs.
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