Chère et complexe à mettre en oeuvre… C’est la réputation que s’est forgée la suite documentaire StoryServer à la fin des années 90. Avec Vignette V6 Content Suite, apparu en 2001, l’éditeur du même nom limite les développements spécifiques, à l’aide d’un module de réplication et de diffusion massive de contenu (MCM).
Des applications prêtes à l’emploi
Aujourd’hui, l’infrastructure Vignette V7 entend proposer des “applications prêtes à l’emploi, qui reposent sur des modèles de sites rapidement exploitables”, explique François Pichon, directeur du marketing de Vignette France. Cet effort se traduit par la commercialisation du socle Vignette V7 Enterprise Services, qui intègre des services de workflow, d’analyse et de catégorisation des contenus. Un ensemble d’applications Java pour portails (portlets) destiné aux serveurs d’applications d’IBM, de Sun ou de BEA parachève cet édifice. Parallèlement, l’éditeur annonce Vignette V7 Application Platform, des modèles de sites et de pages destinés à accélérer le déploiement de portails verticaux. La suite intègre par ailleurs une console de supervision universelle, baptisée Command Center. Cette console donne une vue “technique et métier de la gestion des contenus”, détaille François Pichon. Enfin, Vignette consent d’importantes baisses de tarifs pour son bas de gamme, limité en nombre de postes utilisateurs : fin 2002, Content Management Suite 7 sera vendu environ 125 000 e. Du jamais vu chez Vignette.
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.
