Un planétarium privé pour environ 60 ? (394 F), ce n’est pas cher ! D’autant que celui-ci se révèle plus exhaustif que le planétarium le plus proche de chez vous. D’accord, Redshift 4, d’Alsyd, vous oblige à regarder le ciel sur l’écran de votre PC, et non sur un plafond panoramique. Mais la quantité d’objets que vous pourrez contempler est impressionnante ! Et la base de données s’est considérablement élargie par rapport à l’édition précédente. Ce logiciel utilise les derniers catalogues stellaires (4M, Tycho-2, et Hubble FSC), et porte à 18 millions le nombre d’étoiles répertoriées. Redshift 3 n’en proposait “que” 1 million. Mais ce n’est pas tout. Les bases de données de comètes, astéroïdes, galaxies, amas et nébuleuses sont également plus complètes, tout comme le dictionnaire et la photothèque. Redshift 4 permet de suivre le déplacement des sondes et même d’une navette spatiale. Seul problème, le logiciel affiche une telle quantité d’informations et calcule un si grand nombre de paramètres qu’une puissante configuration (Pentium III 700 MHz, avec 128 Mo de mémoire) s’impose. Ne vous laissez pas rebuter par l’apparente complexité du programme. Il est relativement facile à utiliser, et l’aide en ligne est claire et détaillée. Mais la grande force de ce logiciel, c’est de s’adapter au niveau de l’utilisateur. Néophytes comme passionnés d’astronomie y trouveront de quoi satisfaire leur curiosité.
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