Quatre propriétaires en quatre ans. Loin d’être une ‘ première main ‘, le moteur de recherche Ultraseek est passé successivement par Infoseek, Go.com
(Disney), Inktomi et enfin Verity. En faisant main basse sur ce logiciel il y a un an, Verity s’est offert un passeport pour le marché des petites structures, complétant ainsi la cible grands comptes de sa plate-forme K2.Loin des capacités de classement et des ‘ réseaux sociaux ‘ de gestion de la connaissance de K2, Ultraseek répond aux principaux besoins en matière d’indexation et de recherche des sites Web (non marchands) et surtout
des intranets. ‘ Quelques minutes suffisent pour télécharger le logiciel, paramétrer l’interface de requête et indexer ses premiers contenus ‘, résume Sylvain Py, consultant avant-vente de Verity France.
Un paramétrage simple
Les utilisateurs moins expérimentés sauront en effet manipuler l’outil et régler ses paramètres standard : personnalisation de la page de requête-résultats (éditeur Wysiwyg), réglage de la pertinence des réponses
(pondération des métadonnées), surbrillance des mots-clés dans les documents (dans la plupart des formats usuels), résumés automatiques sur la page de résultats, etc. Depuis peu, le logiciel est même capable de générer automatiquement un titre pour
l’attribuer aux documents qui en sont dépourvus.Ultraseek 5.2 peut également indexer les URL contenant des JavaScript et présente une API pour services Web : ‘ Le recours à ces services évitera, par exemple, de déployer le moteur sur plusieurs sites d’une
même entreprise ou permettra simplement d’intégrer ses fonctions de recherche dans n’importe quelle application ‘, souligne Sylvain Py.L’intégration aux plates-formes importantes de portail est, quant à elle, quasiment standardisée, grâce à l’ajout de portlets pour les logiciels de BEA, d’IBM et de Vignette. Une version
d’évaluation gratuite d’Ultraseek est disponible sur Verity.com.
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