Le VDSL (Very high speed DSL) permet de transférer des données à une vitesse de 52 Mbit/s quand l’ADSL se limite à 8 Mbit/s. Lors de la première conférence du groupe FS-VDSL, organisée à Paris sous la houlette de France Télécom, des opérateurs comme BT, Deutsche Telekom, KPNQwest NTT, SBC ou encore, Verizon, avaient répondu présents. Les grands équipementiers – Alcatel, Broadcom, Cisco Systems, Fujitsu-Siemens, Lucent Technologies, Motorola et Nortel Networks – avaient également fait le déplacement.
Achever le travail de normalisation
Tous les acteurs concernés par cette technologie sont invités à participer aux prochaines réunions de travail. Le principal objectif du groupe est de finaliser, d’ici à janvier ou février prochain, les spécifications du VDSL en cours dans les différents standards, d’en combler les lacunes et d’en favoriser les points communs.L’américain KPNQwest a pu apporter son expérience concernant cette technologie. “À Phoenix, où nous desservons cinquante mille clients avec ce service, nous avons démontré que le FS-VDSL était parfaitement capable de lutter avec les réseaux câblés. Il est temps pour les opérateurs de travailler ensemble pour accélérer le développement des normes techniques “, a témoigné John Czak, vice-président de la division Services d’accès large bande.
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