Préparez l’écran de projection, allumez le vidéoprojecteur et éteignez les lumières. Offrez-vous une séance de cinéma à domicile !
La HD fait désormais partie de notre quotidien. Aujourd’hui, la diagonale idéale des téléviseurs plats (LCD et plasma) oscille entre 94 et 107 cm de diagonale (37 à 42″). Et d’ici à la fin de l’année, elle devrait passer à 116 cm, soit 46″. “ Seulement ” , serait-on tenté d’ajouter… car c’est trois fois moins que la taille d’une image affichée par un vidéoprojecteur. Pourtant, les modèles de notre sélection coûtent au minimum deux fois moins cher qu’un écran plat HD ! Et ils sont les seuls à offrir une sensation visuelle comparable à celle que procure le cinéma.Alors avant d’investir 1 000 euros dans un téléviseur, posez-vous la question : à quel usage le réservez-vous ? Si vous aimez le sport, le cinéma, les reportages, voire les jeux vidéo, vous apprécierez une image la plus grande possible. Plutôt que d’investir dans un coûteux écran de 46″, pourquoi ne pas opter pour une télévision de taille plus raisonnable ? Avec l’argent économisé, vous pourrez vous offrir l’un des vidéoprojecteurs HD 720p de notre sélection. Certains s’avèrent très abordables. C’est, par exemple, le cas du Acer H5350, troisième du classement, et vendu à peine plus de 500 euros sur Internet. Quant au gagnant, le HD65 d’Optoma, il se trouve à 770 euros. Bien sûr, il vous faudra l’associer à un système audio (une chaîne hi-fi ou, mieux, un ensemble home cinéma) et peut-être à un écran de projection si vous ne disposez pas de mur blanc. Mais là encore, les prix ont considérablement baissé (moins de 200 euros pour un modèle manuel de deux mètres de base).
DLP : exigez une démo Parmi les neuf vidéoprojecteurs testés, cinq emploient la technologie DLP, les quatre autres le Tri-LCD. Pour le home cinéma, le DLP s’avère nettement plus performant. La puce DLP est un semiconducteur optique composé d’autant de minuscules miroirs orientables que de pixels. En pivotant, ces miroirs peuvent réfléchir tout ou partie de la lumière vers la lentille de projection ou au contraire l’en éloigner. Cette technologie permet d’améliorer considérablement le contraste, avec des noirs profonds et des détails dans les zones sombres. Une roue chromatique, tournant à grande vitesse et située entre la source de lumière et la puce DLP, permet de projeter sur l’écran les pixels de couleur.Ce procédé, bien que très performant, n’est pas sans défaut. En effet, certaines personnes particulièrement sensibles perçoivent des flashs de couleur lors de la projection d’images très contrastées. C’est l’effet “ arc-en-ciel ” provoqué par la rotation de la roue chromatique. Pour pallier ce problème, les fabricants augmentent la vitesse de rotation de la roue ou le nombre de segments de couleur. Une solution très efficace même si, lors de notre jury de tests, un des ingénieurs s’est révélé sensible à l’effet arc-en-ciel, les trois autres spectateurs ne le percevant pas. C’est pourquoi, avant d’investir dans un modèle DLP, nous vous conseillons d’en demander une démonstration, si possible dans le noir complet puisque c’est dans ces conditions que vous utiliserez le vidéoprojecteur. Si l’effet arc-en-ciel s’avère trop prononcé, vous devrez alors vous tourner vers un modèle Tri-LCD. Cette technologie repose sur un système de trois panneaux LCD traversés par un faisceau de lumière rouge, verte ou bleue, ceux-ci étant recomposés à l’aide d’un prisme avant de traverser la lentille de projection.Si le Tri-LCD ne provoque pas d’effet arc-en-ciel, il souffre d’autres défauts, notamment des images nettement moins contrastées : les noirs ne sont pas assez prononcés et les zones sombres manquent de détail. L’ajout d’un iris dynamique, qui se ferme et s’ouvre pour assombrir ou éclaircir l’image et ainsi augmenter artificiellement le contraste ne s’avère pas très efficace, tout au moins sur les modèles testés. Ainsi, trois des quatre vidéoprojecteurs Tri-LCD de notre sélection arrivent aux dernières places du classement. Mais nous avons eu aussi une excellente surprise avec le Panasonic PT-AX200E, qui nous a vraiment séduits par sa qualité d’affichage, et notamment son excellent contraste proche de celui obtenu avec des projecteurs DLP.
Vendu 200 euros de moins que son aîné le HD75, ce modèle le surclasse pourtant en ce qui concerne la qualité d’image . Il s’agit en outre du plus compact et léger projecteur de notre sélection. Une valeur sûre.
Avec ce modèle, Panasonic démontre qu’il est possible de réaliser un bon vidéoprojecteur home cinéma à technologie Tri-LCD à un prix abordable.
Comment nous avons testé Les tests ont été réalisés avec un PC sous Vista SP1 avec une carte graphique AMD-ATI Radeon HD 2400. Les projecteurs ont été réglés avec les logiciels de ColorFacts : Test Pattern pour le contraste et Milori ColorFacts 6.0 connecté à une sonde Konica Minolta CA210 pour la luminosité et la colorimétrie. La sonde est placée en face de l’écran, à une distance d’utilisation réelle d’environ 3 mètres.
Les mesures sont réalisées à partir de l’interface HDMI avec ColorFacts : pour le contraste, avec une mire constituée d’une moitié blanche et d’une noire, et pour l’étendue de la gamme des couleurs affichables, des écrans rouge, vert, bleu et blanc, celle-ci étant enregistrée sous forme d’un graphique et de valeurs numériques. Des écrans allant du noir au blanc, en passant par dix nuances de gris mesurent le respect et la stabilité des couleurs.
Une photo haute résolution de l’écran, réalisée dans une pièce parfaitement noire, est analysée par un logiciel développé sous Matlab. Les ingénieurs mesurent aussi la luminosité maximale d’une image blanche à trois mètres.
La qualité d’affichage a été évaluée par un jury sur plusieurs points : profondeur du noir, rendu des couleurs, détails dans les zones sombres et rendu des vidéos (en résolution standard et en haute définition).
La consommation de chaque appareil est mesurée à l’aide d’un wattmètre Yokogawa 2534, dans les deux modes de fonctionnement de la lampe : normal et économique.
Chaque projecteur est placé dans une salle équipée d’une isolation phonique spéciale. Le bruit est mesuré par un sonomètre dans les deux modes de fonctionnement (normal et économique), dans quatre directions.
Optoma – HD65 : Le meilleur ! Pour profiter de la haute définition, la qualité d’affichage est le critère numéro un. Mission accomplie.
Vendu 200 euros de moins que son aîné le HD75, le HD65 mérite la première place de ce classement.
Principale raison, la qualité d’image, tout à fait remarquable. Ce modèle DLP assure ainsi l’un des meilleurs taux de contraste parmi les modèles testés. Les noirs sont très prononcés mais jamais bouchés. Lors du jury de tests, les spectateurs ont été bluffés par la richesse des détails, comme dans la scène des mines de la Moria du film Le Seigneur des Anneaux , où les moulures des colonnes plongées dans l’ombre étaient bien visibles. La colorimétrie et le gamma sont, bien entendu, tout aussi convaincants. Quel que soit le niveau de luminosité, les teintes restent fidèles, sans jamais dériver. Autre atout, le HD65 est le projecteur le plus compact de notre sélection et il pèse à peine deux kilos. Il convient donc tout à fait pour une utilisation nomade ou pour les personnes qui rangent l’appareil lorsqu’ils ne s’en servent pas. Au final, l’appareil ne pèche que par son bruit de fonctionnement assez élevé. Malgré tout, ce modèle reste hautement recommandable. Sauf bien entendu pour les personnes particulièrement sensibles à l’effet arc-en-ciel de la technologie DLP. Elles devront se tourner vers un projecteur Tri-LCD.
Points forts
Compacité et poids Contraste, colorimétrie et gamma Enceintes intégrées Ergonomie de la télécommande
Point faible
Un peu bruyant
Prix
800 euros environ
Optoma – HD75 : Deuxième… à un poil près Par souci de commodité, nous arrondissons les notes du tableau au premier chiffre après la virgule . Si nous en avions laissé deux, vous auriez constaté que le HD75 ne rate la première marche du podium que pour deux petits centièmes de point seulement. Aussi étrange que cela paraisse, le HD75 a obtenu une note légèrement inférieure à celle de son petit frère, le HD65, pour la qualité d’image. Pour autant, ce modèle DLP nous a vraiment séduits. Il affiche un excellent taux de contraste, avec des noirs particulièrement profonds et fourmillant de détails. En outre, la colorimétrie est bonne et le gamma très stable quelle que soit la luminosité. Mais ce sont ses autres atouts qui justifient la différence de prix de 200 euros avec le HD65 : il se montre particulièrement silencieux à l’usage, notamment en mode éco. Et, bien que très compact, il intègre des enceintes ainsi qu’une connectique complète, avec notamment une prise DVI en plus du HDMI.
Points forts
Compacité et poids Peu bruyant Contraste, colorimétrie et gamma Enceintes intégrées
Point faible
Écart de prix non justifié avec le HD65
Prix
1 000 euros environ
Acer – H5350 : Le meilleur rapport qualité/prix Le H5350 remporte aisément la palme du meilleur rapport qualité/prix . Vendu seulement 550 euros (et moins encore sur Internet), il se place en troisième position du classement pour la note globale et deuxième pour la qualité d’image. Parmi tous les modèles de notre sélection, c’est ce projecteur qui offre le meilleur taux de contraste en mode éco. En outre, les noirs sont profonds sans toutefois masquer les détails dans les zones les plus sombres. De même, l’aire colorimétrique et le gamma sont excellents. Le bémol vient de l’effet arc-en-ciel du DLP assez perceptible pour les personnes sensibles à ce problème. Autre petit défaut, le bruit de fonctionnement qui est assez élevé. Sans être catastrophique, il peut s’avérer gênant si l’appareil se trouve placé trop près du spectateur. En revanche, nous avons apprécié l’étonnante compacité de ce modèle et son poids plume. Il est donc idéal pour une utilisation nomade.
Points forts
Encombrement et poids Qualité d’affichage Enceintes intégrées
Point faible
Assez bruyant
Prix
550 euros environ
Mitsubishi – HC1500 : Prêt à l’emploi Le HC1500 se distingue de la plupart de ses concurrents par le très bon réglage par défaut du mode Cinéma . Ce projecteur DLP produit d’emblée des images contrastées avec des noirs bien prononcés. L’aire colorimétrique vaste et le gamma stable annoncent un affichage de qualité. Les puristes pourront encore améliorer le rendu en jouant sur les différents réglages. D’autant que la prise en main se montre très intuitive, notamment grâce à la télécommande particulièrement bien pensée. Autre atout, le projecteur se révèle peu bruyant en mode économique. La focale est en revanche assez longue et malgré un zoom de 1,21x, il faut éloigner l’appareil d’au moins 3,25 mètres de l’écran, pour obtenir une image de 2 mètres de base. Un point dont il faut tenir compte pour utiliser l’appareil dans un espace confiné. Enfin, comme la plupart des vidéoprojecteurs DLP, celui-ci ne parvient pas à supprimer totalement l’effet arc-en-ciel, malgré la présence d’une roue à 7 segments. Souvenez-vous que ces flashs de couleur sont difficiles à supporter pour certaines personnes.
Points forts
Peu bruyant Qualité d’affichage ergonomie de la télécommande
Point faible
Recul nécessaire
Prix
990 euros environ
Panasonic – PT-AX200E : Un tri-LCD convaincant C’est la bonne surprise de ce comparatif. Panasonic démontre les progrès réalisés par la technologie Tri-LCD . Sans atteindre la qualité d’image des modèles DLP, le PT-AX200E obtient des résultats très honorables. Le contraste est bon, avec des noirs profonds et détaillés, y compris lorsque l’iris dynamique est désactivé. C’est même là que l’appareil est le meilleur. En effet, si l’activation de l’iris augmente les noirs, elle a souvent le défaut d’entraîner des variations de luminosité visibles à l’œil nu et une altération du gamma. La projection profite aussi du Lens Shift optique (pour déplacer l’image sans bouger l’appareil). Un must dans ce niveau de gamme. De plus, grâce à son zoom optique 2x, le projecteur accepte presque tous les environnements, du plus exigu au plus vaste, puisqu’il peut être placé entre 2,73 m et 5,47 m de l’écran pour générer une image de 2 mètres de base. Il est en outre très silencieux en mode éco. La connectique est complète, avec notamment deux entrées HDMI, et sa télécommande, rétroéclairée, est un modèle d’ergonomie. Reste l’encombrement et le poids : à près de 5 kg, il est difficilement transportable.
Points forts
Qualité d’affichage avec l’iris désactivé Lens shift Double entrée HDMI Peu bruyant
Points faibles
Encombrement et poids Iris dynamique
Prix
1 100 euros environ
Écrans de projection : Écran, toile ou peinture ? Vous avez choisi votre vidéoprojecteur ? Peut-être devrez-vous aussi acquérir un écran de projection. Plusieurs solutions existent et les prix varient en fonction de la taille et, bien entendu, de la qualité. Outre les toiles, il existe aussi des peintures spécialement étudiées pour transformer un mur en écran de projection. Attention toutefois, leur mise en œuvre est assez délicate. Enfin, vous pouvez également acquérir de la toile de projection au mètre, que vous installerez sur un cadre de la taille de votre choix.
Écrans de projection manuels
Lumene Plazza II 200C format 16/9, 203 cm de base : environ 180 euros Screen Up 50010 format 16/9, 203 cm de base : environ 180 euros Svensson SVE 114X203 16/9, 203 cm de base : environ 200 euros Oray Butterfly Mobile 4/3, 200 cm de base (écran mobile s’ouvrant de bas en haut) : environ 400 euros Lumene Capitol Premium 16/9, 234 cm de base : environ 500 euros
Écrans de projection électriques
Lumene Embassy 2 200C 16/9, 203 cm de base : environ 400 euros Screen Up 50059 16/9, 234 cm de base : environ 500 euros Svensson SVE Elec 114X203, 203 cm de base : environ 500 euros Screen Up 50092 16/9, 264 cm de base : environ 700 euros Oray HCM 3 radio 16/9, 240 cm de base : environ 840 euros
Peinture pour écran
Goo Systems : pour peindre un écran de 3 mètres de diagonale : environ 200 euros
Toile PVC au mètre pour écran fixe
Oray : environ 35 euros le m2
Plus d’informations sur ces produits auprès des revendeurs : www.hifissimo.com , www.cobrason.fr et www.son-video.com
Infocus – X9 : Grande compacité À l’instar de l’Acer H5350, le X9 surprend par son étonnante compacité et son poids réduit . Voilà le type d’appareil que vous pouvez poser en quelques secondes sur une table basse si vous ne souhaitez pas l’installer de manière définitive, par manque de place ou par souci d’esthétique. Le X9 offre un bon contraste et, comme souvent avec les projecteurs DLP, des noirs bien prononcés mais riches en détails. De même, la colorimétrie et le gamma sont bons, même si un réglage préalable s’avère nécessaire pour optimiser le rendu. Cela dit, le X9 n’est pas exempt de défauts. D’une part, il se montre un peu bruyant, y compris en mode éco ; d’autre part, l’ergonomie de la télécommande n’est pas des mieux pensées, l’absence d’éclairage des touches ne facilitant pas sa manipulation dans l’obscurité.
Points forts
Encombrement et poids Contraste, colorimétrie et gamma enceintes intégrées
Points faibles
Ergonomie de la télécommande Un peu bruyant
Prix
750 euros environ
BenQ – W500 : Sans contraste Voilà l’un des deux modèles de notre sélection à intégrer un Lens Shift optique. Très pratique, ce système permet de décaler la lentille sur un axe horizontal et vertical sans entraîner de déformation de l’image. En clair, l’appareil n’a pas besoin d’être placé directement dans l’axe de l’écran pour afficher l’image. Sur le W500, le déplacement de l’optique est facilité par la présence d’un petit joystick situé à gauche de l’objectif. Autre atout : il consomme peu d’énergie. Malheureusement, ce sont là ses seuls points forts. Comme la plupart des vidéoprojecteurs Tri-LCD, le W500 pèche par un contraste décevant, annoncé à 5 000:1 et mesuré à 298:1 en mode éco ! L’iris dynamique, censé pallier ce problème, entraîne une augmentation du gamma qui se traduit par une perte sévère de détails dans les zones sombres. Et si on le désactive, le gamma s’améliore, mais les noirs deviennent grisâtres. Autre souci, le W500 se révèle assez bruyant, y compris en mode éco.
Points forts
Lens Shift Conso électrique Ergonomie de la télécommande
Points faibles
Assez bruyant Encombrement et poids Contraste et gamma
Prix
700 euros environ
Epson – EH-TW420 : L’image à la traîne Avec son lecteur de cartes SD, son port USB et ses enceintes intégrées, le TW420 se montre très autonome et assez peu encombrant . Sa définition de 1 280 x 800 convient aussi bien pour un usage bureautique que multimédia. Le projecteur Tri-LCD s’avère relativement discret à l’usage, avec un volume sonore mesuré à seulement 31,3 dB. Le mode Theatre , adapté à la projection de films, est correctement calibré par défaut et ne nécessite que peu de réglages ultérieurs. Pour autant, la qualité reste assez moyenne, voire médiocre sur certains points. En effet, le TW420 s’est classé dernier du comparatif pour la qualité d’image. Non seulement le contraste est assez faible en raison de noirs trop peu profonds et la colorimétrie manque de stabilité. De même, l’iris dynamique manque de vivacité, ce qui se traduit par une absence de détails dans les zones les plus sombres.
Points forts
Peu bruyant Lecteur de cartes SD et port USB Enceintes intégrées
Points faibles
Pas d’entrée YUV Contraste et gamma
Prix
830 euros environ
Sony – VPL-EW5 : À réserver à la bureautique Lanterne rouge de notre sélection, le VPL-EW5 cumule les handicaps . Pour commencer, il s’agit du seul modèle à ne pas offrir de compatibilité avec le format HD 1080p : il n’accepte, parmi les sources Full HD, que celles à 1080 lignes entrelacées (1080i). Ensuite, comme le EH-TW420 d’Epson, il ne possède pas d’entrée vidéo analogique YUV. Et pourtant, il s’agit du modèle le plus cher de notre comparatif ! Mais c’est surtout la faible qualité de ses images qui déçoit. Le contraste est trop faible et les noirs manquent singulièrement de profondeur, un défaut récurrent chez la plupart des vidéoprojecteurs Tri-LCD et notamment sur ce modèle. Dommage, car la colorimétrie et le gamma sont plutôt bons. Enfin, c’est aussi le plus bruyant des modèles testés. Avec sa définition de 1 280 points par 800 et ses enceintes intégrées, le VPL-EW5 conviendra surtout pour un usage bureautique.
Points forts
Colorimétrie et gamma Enceintes intégrées
Points faibles
Très bruyant Contraste Ergonomie de la télécommande Pas d’entrée YUV
Prix
1 210 euros environ
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