- Douze tablettes détaillées et testées pour vous aider à choisir
- Une tablette tactile, pour quoi faire ?
- Une tablette sert aussi à travailler, jouer, rester connecté…
Pour se détendre
Un des domaines de prédilection de la tablette est sans conteste la lecture. Que ce soit pour consulter des articles de presse ou bien des livres numériques, l’objet s’y prête à merveille, que vous soyez confortablement installé dans votre lit, assis dans un train ou dans un avion, ou même sur le coin d’une table. Dommage que toutes les dalles intégrées soient brillantes et créent du coup des reflets lumineux. Dites-vous bien que vous n’accéderez jamais au confort de lecture procuré par l’encre électronique – sans reflet et sans rétroéclairage – des liseuses de livres numériques.
Enfin, en ce qui concerne la musique ou les vidéos, la tablette s’adapte aussi à ce genre d’activités. Toutes les tablettes – l’iPad en tête qui intègre les fonctions d’un iPod – disposent en standard d’un lecteur audio intégré. Quant à vos DivX, ils seront lus, pour la majeure partie d’entre eux, sans aucun problème sur les tablettes Android. Avec l’iPad, vous devrez contourner les limitations d’Apple en utilisant un logiciel tiers comme Buzz Player HD.
Pour téléphoner
Que ce soit clair, la tablette, même si elle est taillée pour la visiophonie via Skype, par exemple, ne remplace pas le mobile. Trois raisons. Premier obstacle : sa taille. Même avec un modèle de sept pouces, on imagine mal « dégainer » sa tablette à la descente du bus et se la coller sur l’oreille pour répondre à un appel urgent ! Et avec une oreillette, c’est peut-être plus discret mais guère plus pratique.
Deuxième point : les fabricants de tablettes produisent aussi, en général, des téléphones mobiles. Pour ne pas faire chuter les ventes de ces derniers, bon nombre de fabricants ont donc volontairement décidé de ne pas intégrer – ou alors sous forme d’une option payante – la téléphonie dans leurs joujoux. Pour être plus précis, même si vous achetez une tablette dotée d’une connexion 3G (en plus du Wi-Fi), il n’est pas certain qu’elle soit pourvue de la fonction téléphonie.
Enfin, dernier obstacle, ce sont bien évidemment les opérateurs de téléphonie mobile qui interdisent l’utilisation de leurs forfaits mobiles avec une tablette.
Pour surfer sur Internet
Pour consulter le Web de manière ponctuelle, depuis son canapé, son lit, sa cuisine ou son fauteuil de TGV, la tablette est adaptée. La majorité des sites Internet sont optimisés pour un affichage sur ce type d’écran, et ce, quelles que soient leur taille (7, 9 ou 10 pouces) et leur définition (1 024 x 600 ; 1 024 x 768 ou 1 280 x 800). Au pire, avec une définition verticale de 600 points, il sera nécessaire de faire défiler votre page. Mais c’est beaucoup plus simple et naturel avec un doigt qu’avec les flèches du clavier d’un netbook, par exemple. Le zoom à l’aide de deux doigts devient « instinctif ». Par ailleurs, les navigateurs pour tablettes ont été conçus afin de masquer la Barre d’adresses et les boutons présents en haut de fenêtre pour un affichage des pages en plein écran.
Autre élément à retenir : les tablettes de dernière génération présentent des performances plus que suffisantes pour l’affichage quasi instantané des pages Web, avec la même rapidité que sur un PC classique. Bémol : l’iPad 2 fait toujours l’impasse sur la technologie Flash, largement répandue sur le Web.
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