Qui n’a jamais été irrité par les publicités intrusives, toujours plus nombreuses sur Internet. Quoi de plus naturel que de vouloir diversifier ses sources de revenu par la mise en place de
‘ bans ‘, de ‘ skycraper ‘, en pop-up ou en pop-under.Avec l’ouverture de notre site Internet, nous avons récemment découvert les joies et les déboires de la publicité façon web… Nous pensions que la tâche serait relativement simple, mais il n’en fut rien.Il faut connaître les sociétés ayant pignon sur rue pour déposer les bannières publicitaires (en tant qu’annonceur), et celles qui permettront d’en publier sur son site afin d’en retirer un revenu substantiel (en
tant qu’éditeur).Ensuite, il faut se familiariser avec de nombreux termes techniques ?” CPM, CPL, PAP, rémunération au clic, au lead et nombre de pages lues ?”, et surtout, avec les différentes méthodes de
‘ tracking ‘, qui permettent de suivre les résultats en tant qu’annonceur et en tant qu’éditeur, sachant que les interfaces diffèrent.Bref, en quelque mois, notre webmestre, qui maîtrisait les technologies du web, s’est retrouvé à apprendre un nouveau métier, avec la découverte d’une foultitude de problématiques liées à la publicité sur Internet. Après
avoir investi de l’argent (un peu) et du temps (beaucoup), nous sommes en passe de revenir à des méthodes de communication beaucoup plus simples, car, au vu de l’énergie passée à comprendre les rouages du système, la rémunération fut
loin d’être à la hauteur.Nous avons remplacé notre espace publicitaire par une bannière autopromotionnelle, qui a le tort de ne pas nous rapporter les quelques centaines d’euros prévues, mais qui nous épargne des tracas et nous permet de nous recentrer
sur notre c?”ur de métier.* MM. Red, Grey, Yellow, Blue et Purple sont cadres dans des services informatiques. Chaque semaine, à tour de rôle, ils vous font partager le fruit de leur expérience.
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