Quoi de neuf sur le front de la bataille du spam ? Le fait que la Chambre de commerce américaine, à son tour, presse les parlementaires de déclarer hors la loi ce courriel de masse, qui ‘ sape la productivité
des entreprises ‘ ? Broutille que cela.La seule importante nouvelle du jour est que la société Hormel Foods, industriel charcutier depuis 1937 ?” et, depuis quelques mois, au bord de la crise de nerfs ?”, intente un procès à la société Spam Arrest,
fournisseuse, elle, de filtres antipourriels.Et ce aux motifs qu’elle abuse du vocable Spam, qui est le nom déposé de l’une de ses préparations maison ?” Spam est, en effet, la contraction de ‘ spiced ham ‘ (jambon aux
épices) ?” et que l’agressivité commerciale de l’éditeur et de tous ses excités congénères dans le contexte quasi hystérique de mobilisation actuelle contre le spamming génère une confusion préjudiciable dans toutes les bonnes cantines
d’Oklahoma et d’ailleurs entre sa cochonnaille épicée et les cochonneries salées déversées sur internet.Reste à savoir comment ce ‘ Spam ‘ a glissé du sandwich de cow-boy pour devenir cette embolie tant exécrée des artères du net.Selon plusieurs sources concordantes, ce serait suite à un sketch des Monty Python tournant en dérision les méthodes marketing assez lourdingues du roi du porc salé que la marque déposée se serait définitivement trouvée affublée des
connotations ‘ t’en veux pas, mais t’en auras quand même, et tu discutes pas ‘. Cochon qui s’en dédit…* Directeur adjoint de la rédaction de 01 Informatique
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