Monter les escaliers, courir et même dormir, entraîne une dépense énergétique. Fitbit, un petit capteur que l’on porte en permanence sur soi, sait reconnaître la nature de ces activités. Il s’en sert pour fournir à ses utilisateurs un bilan de leurs dépenses énergétiques, consultable ensuite en ligne.
Il laisse aussi la possibilité d’enregistrer des activités non référencées, afin de fournir une analyse plus fine. Certains n’ont pas hésité à y indiquer leurs parties de jambes en l’air, en prenant soin d’indiquer si elles étaient intensives ou non, la durée…
Mal leur en a pris puisque le bilan de leur activité sexuelle s’est retrouvé publié sur le Net, révélait hier Next Web. Car Fitbit crée des profils pour chacun de ses utilisateurs, avec le journal de leurs occupations. Par défaut, ceux-ci sont publics, ils ont donc été référencés par Google.
En tapant les mots-clés « sexual activity » et en ciblant les recherches sur le site Fitbit, le moteur livrait alors le détail des activités des membres du site. Fibtit semble avoir réagi depuis la révélation de cet impair, car les profils ne s’affichent plus.
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