Chez BenQ, on connaît déjà le W100, un vidéoprojecteur millésime 2006 qui, à son époque, misait sur un bon rapport qualité/prix. Aujourd’hui, cette série s’enrichit d’une nouvelle référence, le W500, un modèle bien plus ambitieux.
Utilisant la technologie tri-LCD, le W500 est qualifié, par son constructeur, de modèle home cinéma compatible HD Ready. Il projette vos vidéos dans une définition de 1280×720 pixels, ce qui constitue le premier palier de la haute définition. Pour tirer parti de cette comptabilité HD, en plus des entrées vidéo analogique (S-Vidéo et VGA), le W500 dispose d’une entrée HDMI. C’est pratique pour véhiculer le son et la vidéo en qualité numérique avec un seul câble.
De plus, cette connectique se retrouve aujourd’hui sur de nombreux lecteurs de DVD dont l’électronique embarquée est capable d’optimiser la qualité d’un DVD. BenQ vante les mérites de ses technologies HQV et Senseye, capables d’optimiser la qualité d’une vidéo SD en une définition HD. Pour cela, elles interviennent sur la réduction du bruit numérique, sur l’amélioration du contraste et de la netteté, ainsi que sur la densité des noirs. Son taux de contraste est un autre de ses points forts. Avec un ratio de 5000:1, les images devraient être contrastées.
La luminosité de 1100 lumens est plus classique, mais tout aussi correcte. La fonction Lens Shift, très pratique pour déplacer légèrement l’image latéralement ou horizontalement, sans avoir à déplacer l’appareil. Enfin, c’est du côté des nuisances sonores que ce vidéoprojecteur pèche un peu : 32 dB en mode normal, c’est un peu bruyant. D’ores et déjà disponible, le W500 est proposé à 1289 euros. Un peu cher.
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