Les relations entre informaticiens et utilisateurs sont bonnes pour 78 % des projets. En revanche, 60 % d’entre eux ne sont pas soumis à un enregistrement des temps passés, 30 % sont d’une complexité technique trop grande et 70 % des entreprises n’ont pas formalisé de procédures pour le développement et le suivi de leurs systèmes d’information…Ce benchmark établit la synthèse des réponses données par des responsables informatique d’entreprises aux questions posées par le logiciel ScanIT de KPMG.Cette méthode d’évaluation des risques s’appuie sur une batterie de quelques quatre-vingt questions regroupées en sept axes d’analyse balayant, de la technique à l’organisation, l’ensemble des problématiques dun grand projet.
Une cinquantaine de réponses ont ainsi été analysées par les consultants.Elles portent sur des projets réels qui, en moyenne, dépassent le milliard de francs. Il en ressort un portrait type qui peut se définir autour de deux paradoxes.Le premier ? Les projets ne sont pas suivis de façon méthodique, mais ils arrivent à temps.Deuxième paradoxe : ils sont réalisés de façon artisanale et évoluent considérablement au cours de leur phase de développement, mais ils sont livrés de façon conforme aux attentes des utilisateurs.Conclusion de Brigitte Declerck-Peyrard, partenaire KPMG : ” Les directeurs informatiques qui ont répondu à notre questionnaire savent généralement très bien que le déploiement sera un moment difficile “.
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