La connectique, d’abord, qui comprend quatre entrées HDMI 1.3, une entrée PC et un port USB apparemment ouvert aux MP3, aux photos Jpeg et à certains formats vidéo (Mpeg-1, Mpeg-2, Mpeg-4, H.264). D’après nos premières constatations, les vidéos passent sans trop de problème, hromis quelques saccades, par moments.
Ensuite, c’est à l’intérieur du téléviseur que tout se joue. Le traitement vidéo est géré par le Pixel Precise HD et ses différents modes d’optimisation. Les contrastes peuvent alors grimper en dynamique jusqu’à 80000:1 et les couleurs sont traitées sur 14 bits pour davantage de précision et de nuances. L’image devrait donc être plutôt flatteuse et riche en couleurs (quatre trillions de nuances annoncés). D’autant que Philips a complété le dispositif avec un réducteur de bruit 2D/3D, un mode HD Natural Motion et son fameux traitement 100 Hz censé améliorer la netteté des images en mouvement. Certaines aiment, d’autres détestent. Cela dépend des sensibilités et des programmes regardés.
La TNT HD est bien entendu intégrée, l’installation est facilitée par un assistant interne et plusieurs fonctions de confort sont incluses (ajustement automatique du volume, mode Eco, touche Home unique, sélection des chaînes préférées, différents modes Image pré-réglés, assistant de réglages, etc.). Pas de mode Ambilight, en revanche, ni de connectivité réseau. Petiit prix oblige.
Ce téléviseur LCD HDTV 1080p Philips est, en effet, commercialisé 999 euros. Notez que la version de 32 pouces est affichée à 609 euros, celle de 47 pouces à 1149 euros et celle de 52 pouces à 1799 euros. Des prix qui incitent à opter pour les grandes tailles d’écran…
🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.
