Ce scanner à plat, élégant mais massif (plus de 4 kg), cache sous son capot des caractéristiques capables de contenter même les plus exigeants. Il restitue des images d’une qualité irréprochable grâce à une résolution de numérisation de 1 200 x 2 400 points par pouce. Une résolution exceptionnelle lorsque l’on sait que la presque totalité des scanners destinés au grand public ne dépasse pas les 600 x 1 200 points par pouce.
Mais le Snapscan offre plus. A commencer par l’installation. Exclusivement sur port USB, sur PC ou sur Mac, elle est d’une grande simplicité.
La polyvalence, ensuite. Ce scanner est en effet capable de numériser toutes sortes de documents : photos brillantes ou mates, imprimées sur magazine ou sur papier journal, documents édités avec une imprimante, dessins originaux, diapositives, négatifs, transparents… Tout cela se fait très simplement : il suffit de presser un bouton. Un logiciel s’affiche à l’écran et cadre automatiquement le document. Il ne reste plus qu’à indiquer son type (photo, dessin, etc. ) : le logiciel effectue lui-même les réglages appropriés et offre une fonction de détramage automatique. Mais les initiés et les connaisseurs ont aussi la possibilité d’affiner les réglages.
Le traitement éventuel des images sauvegardées se fait à l’aide de l’excellent logiciel Photo House 5. 0 de Corel. Pour simplifier le travail de l’utilisateur, le scanner propose aussi d’autres boutons situés sur sa face avant. Ils permettent de déclencher un logiciel de reconnaissance de caractères (ReadIris 4. 17), l’envoi direct d’une image vers l’imprimante ou vers une adresse électronique.
Le Snapscan e50 a tout de même un bémol : son prix, même s’il est justifié, frôle les 2 000 francs.
L’avis de la rédaction
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