Les rayons et cyber-rayons regorgent de portables embarquant lessacro-saints 2 Go nécessaires au gros Vista. Et comme Mme Michu jouedésormais à Quake 5 : Mon petit poney enragé, de plus en plus demachines sont équipées de solution graphiques Ati ou nVidia. Le hic,c’est que les technologies de partage de la mémoire centrale(Hypermemory et Turbocache) ne donnent pleine satisfaction que s’il y asuffisamment de mémoire disponible.
En passant la mémoire embarquée à 3 Go, Packard Bell pense aux joueursou au utilisateurs d’applications un peu gourmandes. Gageons que cesera la norme dans les mois à venir.
Hormis cette initiative salutaire, Packard Bell a conçu une machinetout qu’il y a de plus banal : un petit Core 2 Duo T2330, bien maispas top, une carte graphique de «petit» joueur (avec autant de RAM, onaurait préféré une 8600), un écran 15,4 d’une résolution des plusstandards, un gentillet 160 Go. Pas de chichis pour le réseau: lan 100Mbit, Wi-Fi 802.11b et g, mais exit le modem, et oublié le Bluetooth.
Du côté de la connectique vidéo, c’est DVI ou HDMI. Le principal estlà, mais on ne va pas crier à la machine du siècle. Bon point : leclavier est doté d’un pavé numérique, un élément de confort notable surun 15,4 pouces.
L’EasyNote MB65-U-068est disponible à 699 €, un prix à l’image de la machine : cohérent.
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