Linux suit, tranquillement, son bonhomme de chemin. Le pingouin a commencé dans la vie avec une image de rebelle libertaire. Il est ensuite entré dans les entreprises par la petite porte, voire même dans le plus grand secret. Il finit par convaincre les grands constructeurs, qui doivent apprendre à vivre avec un OS de plus au côté de Windows et, souvent, de leur propre Unix.Aujourd’hui, les plus grands logiciels commerciaux cohabitent sur les étagères avec les plus grands logiciels libres. Chacun y trouve son compte, et l’utilisateur au premier chef. C’est vrai, certains constructeurs avouent que Linux génère moins de valeur ajoutée que les autres OS.Qu’est-ce à dire ? L’utilisateur payerait-il moins cher ? Il semblerait, et il ne s’y trompe pas. Les parts de marché de Linux progressent à une vitesse époustouflante. C’est peut-être ces éléments qui ont dernièrement conduit Bill Gates à demander qu’on s’attache, chez Microsoft, un peu plus aux préoccupations du client en matière de sécurité.Comme quoi, on ne le dira jamais assez, une saine concurrence est bien source de progrès!Changeons de sujet. Décision Micro & Réseaux non plus n’est pas manchot. Ipsos vient de publier les résultats de son étude annuelle sur l’audience de la presse française mesurée sur la population des décideurs informatiques. Avec 136 000 lecteurs, Décision est crédité dun excellent taux de pénétration de 26,4 % sur la population étudiée.Un grand merci à vous, lecteurs, qui nous faites confiance.
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