Les conséquences boursières de l’affaire Enron, ou plutôt de la série de cas liés à des imprécisions, voire à des malversations comptables, semblent s’être estompées, comme…
Les conséquences boursières de l’affaire Enron, ou plutôt de la série de cas liés à des imprécisions, voire à des malversations comptables, semblent s’être estompées, comme en témoigne l’inflexion de nos indices. Apparue en surimpression du ralentissement économique, l'” enronite “, en somme, aurait déteint aux premiers bons indicateurs. C’est faire peu de cas du défaut structurel des bilans des grandes entreprises, farcis d’actifs acquis en haut de cycle, s’inquiète-t-on. C’est, au contraire, signe que les marchés sont de nouveau aptes à lessiver les tâches accidentelles, pour les optimistes. Surimpression ou sur-impression ? Réponse à la prochaine éclaboussure.