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Un moyen d’alléger le poste achats

Si les petites structures recherchent avant tout le meilleur prix, les grandes entreprises voient dans l’e-procurement une façon de simplifier leurs procédures.

Jean-Pierre Guez, PDG de JCR

Groupe textile parisien, JCR, qui emploie 36 personnes, a réalisé en 2000 un chiffre d’affaires de 26 millions d’euros.Client du Crédit Lyonnais, JCR a été démarché dès décembre 2000 pour tester les services de Seliance. Deux mois avant le lancement du site, en avril 2001, cinq employés ont pu commencer à acheter en ligne, alors que jusque-là, l’économe se chargeait de toutes les commandes. JCR a mené une dizaine de transactions pour des fournitures de bureau. “On achetait ce type de matériel soit à la papeterie du coin, soit en épluchant les catalogues, explique Jean-Pierre Guez. Comme c’est le prix que nous regardions en premier, nous n’étions pas des clients fidèles.” Économie de temps et d’argent, il sait ce qu’il peut trouver de moins cher sur Seliance. Mais s’il se réjouit d’économiser 0,2 euro sur les ramettes de papier, il n’hésite pas à faire remarquer à Seliance que certains produits, sous des marques différentes, pouvaient s’acheter moins cher… en grande surface.

Hélène Guerre, Responsable des achats chez Celerg

Filiale d’EADS (groupe européen d’aéronautique et de défense) et de la SNPE (matériaux énergétiques et chimie fine), Celerg emploie 500 salariés pour un chiffre d’affaires de 77 millions d’euros en 2000. Celerg teste depuis un mois et demi les services d’Avisium. La direction générale avait lorgné vers des solutions propriétaires, sans trouver d’outil à la taille de l’entreprise. Le choix s’est porté vers une solution d’éditeur, les catalogues publics d’Avisium, pour des achats de fournitures et d’informatique. “ Cet outil va simplifier notre travail, prévoit Hélène Guerre. Pour ce poste de dépense qui pèse 15 % de nos 3 millions d’euros d’achats de fonctionnement, nous avions 522 lignes d’achats, il n’en restera plus quune sur la facture. Et nous en profiterons pour diviser par deux le nombre de nos fournisseurs. ” Déjà, la responsable des achats hors production songe à étendre la gamme de produits commandés en ligne et presse Avisium de proposer un catalogue pour les fournitures de ses ateliers.

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Maxime Rabiller